Abidjan - La Banque Mondiale a publié, mercredi, le rapport Doing Businnes 2014, qui classe la Côte d’Ivoire parmi les 10 pays les plus réformateurs au monde quant à la mise en place d’un climat propice aux affaires.
La performance a été saluée par les autorités ivoiriennes au terme d’un conseil des ministres tenu ce même mercredi et au cours duquel le gouvernement s’est félicité de voir ainsi aboutir les reformes qu’il entreprend en la matière depuis 2011.
La porte-parole adjointe, Me Affoussiata Bamba-Lamine, lors de sa conférence de presse d’après conseil, a traduit le satisfécit du gouvernement livrant quelques autres détails du rapport concernant la Côte d’Ivoire qui occupe par ailleurs au niveau de l’Uemoa, le 2ème rang et est passé dans l’espace Ohada, qui regroupe 17 pays, de 11ème en 2012, 7ème au 3ème rang en 2014.
"Seulement trois ans après la sortie de crise la Côte d’Ivoire a accéléra les reforme pour renouer avec une croissance forte, durable et inclusive", s’est-elle félicitée avant d’indiquer que le gouvernement reste toutefois conscient quant aux défis qui restent encore à relever.
"C’est pour cela qu’en 2015, nous (le gouvernement) avons décidé de mettre en œuvre 31 mesures qui vont permettre d’accélérer les réformes selon les indicateurs du Doing business", a signifié Me Affoussiata Bamba-Lamine.
Rapport annuel produit par la Baque Mondiale, le Doing Business fournit une évaluation quantitative des réglementations qui s’appliquent à la création d’entreprises, l’octroi de permis de construire, le recrutement de personnel, le transfert de propriété, l’obtention de crédit, la protection des investisseurs, le paiement des impôts, le commerce transfrontalier, l’exécution des contrats et la fermeture de petites ou moyennes entreprises, signale-ton.
Il part du principe fondamental que l’activité économique doit reposer sur des règles solides. Par exemple, il faut des règles pour définir clairement les droits de propriété et réduire les coûts de règlement des litiges. Ce, pour améliorer la prévisibilité des relations économiques et offrir une protection essentielle aux partenaires contractuels contre les abus. L’objectif est de mettre en place une réglementation efficace, accessible à tous ceux qui en ont besoin et qui soit simple à appliquer, a expliqué la porte-parole.
Le rapport prend en compte les réglementations nationales et locales relatives à dix étapes de la vie d’une petite ou moyenne entreprise locale: création d’entreprises, obtention des permis de construire, raccordement à l’électricité, transfert de propriété, obtention de prêts, protection des investisseurs, paiement des taxes et impôts, commerce transfrontalier, exécution des contrats, solutionnement de l’insolvabilité.
Kg/tm
La performance a été saluée par les autorités ivoiriennes au terme d’un conseil des ministres tenu ce même mercredi et au cours duquel le gouvernement s’est félicité de voir ainsi aboutir les reformes qu’il entreprend en la matière depuis 2011.
La porte-parole adjointe, Me Affoussiata Bamba-Lamine, lors de sa conférence de presse d’après conseil, a traduit le satisfécit du gouvernement livrant quelques autres détails du rapport concernant la Côte d’Ivoire qui occupe par ailleurs au niveau de l’Uemoa, le 2ème rang et est passé dans l’espace Ohada, qui regroupe 17 pays, de 11ème en 2012, 7ème au 3ème rang en 2014.
"Seulement trois ans après la sortie de crise la Côte d’Ivoire a accéléra les reforme pour renouer avec une croissance forte, durable et inclusive", s’est-elle félicitée avant d’indiquer que le gouvernement reste toutefois conscient quant aux défis qui restent encore à relever.
"C’est pour cela qu’en 2015, nous (le gouvernement) avons décidé de mettre en œuvre 31 mesures qui vont permettre d’accélérer les réformes selon les indicateurs du Doing business", a signifié Me Affoussiata Bamba-Lamine.
Rapport annuel produit par la Baque Mondiale, le Doing Business fournit une évaluation quantitative des réglementations qui s’appliquent à la création d’entreprises, l’octroi de permis de construire, le recrutement de personnel, le transfert de propriété, l’obtention de crédit, la protection des investisseurs, le paiement des impôts, le commerce transfrontalier, l’exécution des contrats et la fermeture de petites ou moyennes entreprises, signale-ton.
Il part du principe fondamental que l’activité économique doit reposer sur des règles solides. Par exemple, il faut des règles pour définir clairement les droits de propriété et réduire les coûts de règlement des litiges. Ce, pour améliorer la prévisibilité des relations économiques et offrir une protection essentielle aux partenaires contractuels contre les abus. L’objectif est de mettre en place une réglementation efficace, accessible à tous ceux qui en ont besoin et qui soit simple à appliquer, a expliqué la porte-parole.
Le rapport prend en compte les réglementations nationales et locales relatives à dix étapes de la vie d’une petite ou moyenne entreprise locale: création d’entreprises, obtention des permis de construire, raccordement à l’électricité, transfert de propriété, obtention de prêts, protection des investisseurs, paiement des taxes et impôts, commerce transfrontalier, exécution des contrats, solutionnement de l’insolvabilité.
Kg/tm