Le troisième pont baptisé « pont Henri Konan Bédié » sera livré à la circulation à la fin de l’année. Mais en attendant, les usagers vivent un calvaire à cause des travaux qui ont cours en ce moment dans la commune de Marcory, notamment au niveau du boulevard Valéry Giscard D’Estaing. En effet, compte tenu de ces travaux, la voie est devenue exigüe. Le dispositif mis en place pour permettre le passage des véhicules donne la forme d’un tunnel.
Dans ce tunnel, le passage des véhicules est non seulement ralenti mais surtout, les accrochages sont légion. Car les agents des forces de l’ordre quelquefois postés à cet endroit ne se préoccupent pas de la régulation de la circulation ni à l’entrée ni à la sortie dudit tunnel.
Ainsi, l’embouteillage est dense et omniprésent à longueur de journée. Parfois, certains usagers mettent environ une à deux heures de temps pour sortir de cet embouteillage opaque et monstrueux. Les seuls moments où l’on a la chance de traverser le tunnel sans trop de peine sont tard dans la nuit ou tôt le matin avant 7H. Les moments les plus dangereux se situent d’une part entre 8H et 10 H et d’autre part entre 16H et 19H. Tous ceux qui y passent à ces heures de pointe subissent un véritable calvaire. D’aucuns le qualifient même de « l’enfer du tunnel de Marcory ». Aujourd’hui, exténués par cet état de fait, tous les usagers ont les yeux rivés vers le mois de décembre date à laquelle le troisième pont sera livré à la circulation. Vivement que cette date arrive pour mettre fin à ce « chemin de croix ».Certes, depuis des années les Abidjanais rêvaient de voir ce troisième pont tant annoncé mais comme le dit l’adage « on ne peut faire des omelettes sans casser des œufs ». Pourvu que la douleur de la préparation de ces omelettes ne vous coupe pas l’appétit. En tout état de cause , quelle que soit la durée de la nuit, le jour finira par venir. Décembre c’est déjà demain.
Gisèle Tienfô
Dans ce tunnel, le passage des véhicules est non seulement ralenti mais surtout, les accrochages sont légion. Car les agents des forces de l’ordre quelquefois postés à cet endroit ne se préoccupent pas de la régulation de la circulation ni à l’entrée ni à la sortie dudit tunnel.
Ainsi, l’embouteillage est dense et omniprésent à longueur de journée. Parfois, certains usagers mettent environ une à deux heures de temps pour sortir de cet embouteillage opaque et monstrueux. Les seuls moments où l’on a la chance de traverser le tunnel sans trop de peine sont tard dans la nuit ou tôt le matin avant 7H. Les moments les plus dangereux se situent d’une part entre 8H et 10 H et d’autre part entre 16H et 19H. Tous ceux qui y passent à ces heures de pointe subissent un véritable calvaire. D’aucuns le qualifient même de « l’enfer du tunnel de Marcory ». Aujourd’hui, exténués par cet état de fait, tous les usagers ont les yeux rivés vers le mois de décembre date à laquelle le troisième pont sera livré à la circulation. Vivement que cette date arrive pour mettre fin à ce « chemin de croix ».Certes, depuis des années les Abidjanais rêvaient de voir ce troisième pont tant annoncé mais comme le dit l’adage « on ne peut faire des omelettes sans casser des œufs ». Pourvu que la douleur de la préparation de ces omelettes ne vous coupe pas l’appétit. En tout état de cause , quelle que soit la durée de la nuit, le jour finira par venir. Décembre c’est déjà demain.
Gisèle Tienfô