Grand-Bassam - Une vingtaine de membres d’Organisations de la société civile (OCS) ivoirienne participent, de mercredi à vendredi, à Grand-Bassam, à un atelier de renforcement de capacités, afin de les initier aux nouvelles méthodes d’observation des processus électoraux.
Initié par l’organisation non gouvernementale Agir pour la démocratie, la justice et la liberté en Côte d’Ivoire (ADJL-CI) en partenariat avec la Friedrich Ebert Stiftung (FES), cet atelier vise à renforcer les capacités des participants sur les missions, les rôles et le mode opératoire du mécanisme d’observation électorale.
Au terme de cette formation, les représentants des OSC seront familiarisés avec les outils et méthodes modernes d’observation tels que le ‘’parallel voting tabulation (PVT), la rédaction des rapports d’observation électorale, la formulation des recommandations pour le déroulement apaisé du prochain cycle électoral en Côte d’Ivoire’’.
Pour le président de l’ONG ADJL-CI, M. Ferdinand Julien Gauze, il est important que les OSC ivoiriennes se préparent au rendez-vous des prochaines échéances électorales, en étant techniquement nanties sur les méthodes modernes d’observation.
« L’histoire électorale de la Côte d’Ivoire depuis 1990 n’a connu aucune élection présidentielle sans violence. Cette situation est due, d’une part, à la non-maitrise du processus électoral et d’autre part, à la non-acceptation des règles du jeu démocratique par les différents acteurs », a ajouté le représentant-résident de la FES, M. Matin Johr qui invite les acteurs à adopter la culture démocratique.
A travers la méthode du PVT, les observateurs regardent les processus de vote et de comptage spécifiquement sélectionnés dans des bureaux qui représentent un échantillon statistique. Ils recueillent des informations clés sur des formulaires normalisés et rendent compte de leurs résultats. La marge d’erreur entre les résultats officiels et les données des observateurs est très étroite, fait-on savoir.
(AIP)
ko/tad/kkp/tm
Initié par l’organisation non gouvernementale Agir pour la démocratie, la justice et la liberté en Côte d’Ivoire (ADJL-CI) en partenariat avec la Friedrich Ebert Stiftung (FES), cet atelier vise à renforcer les capacités des participants sur les missions, les rôles et le mode opératoire du mécanisme d’observation électorale.
Au terme de cette formation, les représentants des OSC seront familiarisés avec les outils et méthodes modernes d’observation tels que le ‘’parallel voting tabulation (PVT), la rédaction des rapports d’observation électorale, la formulation des recommandations pour le déroulement apaisé du prochain cycle électoral en Côte d’Ivoire’’.
Pour le président de l’ONG ADJL-CI, M. Ferdinand Julien Gauze, il est important que les OSC ivoiriennes se préparent au rendez-vous des prochaines échéances électorales, en étant techniquement nanties sur les méthodes modernes d’observation.
« L’histoire électorale de la Côte d’Ivoire depuis 1990 n’a connu aucune élection présidentielle sans violence. Cette situation est due, d’une part, à la non-maitrise du processus électoral et d’autre part, à la non-acceptation des règles du jeu démocratique par les différents acteurs », a ajouté le représentant-résident de la FES, M. Matin Johr qui invite les acteurs à adopter la culture démocratique.
A travers la méthode du PVT, les observateurs regardent les processus de vote et de comptage spécifiquement sélectionnés dans des bureaux qui représentent un échantillon statistique. Ils recueillent des informations clés sur des formulaires normalisés et rendent compte de leurs résultats. La marge d’erreur entre les résultats officiels et les données des observateurs est très étroite, fait-on savoir.
(AIP)
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