Bouaké - La loi N°2014-430 portant régime de prévention, de protection et de répression en matière de lutte contre le VIH et le SIDA, promulguée en juillet dernier, a été expliquée mardi à Bouaké aux acteurs étatiques et non étatiques, notamment les agents du système sanitaire, les structures connexes, les ONG, les agents de la police et les organisations de la société civile.
L’objectif étant de vulgariser cette loi pour amener les différents acteurs à s’y conformer, l’animateur de la clinique juridique de Bouaké, Oka Ismaël Kouassi, et le directeur exécutif de l’ONG Réseau de la miséricorde en Côte d’Ivoire (REMCI), Jakaria Koné, ont passé en revue les 58 articles en insistant sur les droits et devoirs des personnes infectées et affectées par le VIH/SIDA, les différentes obligations à charges des personnes non infectées et affectées, des agents de santé, des organisations de lutte ainsi que les peines encourues par chaque acteur.
Les deux animateurs de l’atelier se sont réjouis de l’adoption de cette loi pour combler le vide juridique qui existait, invitant les différents acteurs à s’y conformer, désormais. "Cette loi, je peux dire qu’elle est la bienvenue", a affirmé M. Oka qui a salué la latitude offerte aux associations de porter plainte, au nom des personnes affectées et infectées dont ils défendent les intérêts.
Tout comme eux, la 6e adjointe au maire, Mme Ouattara Korotoumou, et le coordonnateur régional Centre du projet Leadership et initiative des acteurs non étatiques, Coulibaly Mélaga, se sont réjouis de l’organisation de cet atelier de vulgarisation et souhaité l’atteinte des objectifs, avant de réaffirmer la disponibilité de leurs structures à soutenir les initiatives en rapport avec la lutte contre le VIH/SIDA.
Cet atelier est une initiative du Réseau de la miséricorde en Côte d’Ivoire appuyé par la Coordination régionale Centre du projet Leadership et initiative des acteurs non étatiques (LIANE) dans le cadre de ses activités de soutien de la vulgarisation des lois et règlements et autres documents officiels qui régissent les organisations de la société civile et des domaines stratégiques.
(AIP)
nbf/kkp/kam
L’objectif étant de vulgariser cette loi pour amener les différents acteurs à s’y conformer, l’animateur de la clinique juridique de Bouaké, Oka Ismaël Kouassi, et le directeur exécutif de l’ONG Réseau de la miséricorde en Côte d’Ivoire (REMCI), Jakaria Koné, ont passé en revue les 58 articles en insistant sur les droits et devoirs des personnes infectées et affectées par le VIH/SIDA, les différentes obligations à charges des personnes non infectées et affectées, des agents de santé, des organisations de lutte ainsi que les peines encourues par chaque acteur.
Les deux animateurs de l’atelier se sont réjouis de l’adoption de cette loi pour combler le vide juridique qui existait, invitant les différents acteurs à s’y conformer, désormais. "Cette loi, je peux dire qu’elle est la bienvenue", a affirmé M. Oka qui a salué la latitude offerte aux associations de porter plainte, au nom des personnes affectées et infectées dont ils défendent les intérêts.
Tout comme eux, la 6e adjointe au maire, Mme Ouattara Korotoumou, et le coordonnateur régional Centre du projet Leadership et initiative des acteurs non étatiques, Coulibaly Mélaga, se sont réjouis de l’organisation de cet atelier de vulgarisation et souhaité l’atteinte des objectifs, avant de réaffirmer la disponibilité de leurs structures à soutenir les initiatives en rapport avec la lutte contre le VIH/SIDA.
Cet atelier est une initiative du Réseau de la miséricorde en Côte d’Ivoire appuyé par la Coordination régionale Centre du projet Leadership et initiative des acteurs non étatiques (LIANE) dans le cadre de ses activités de soutien de la vulgarisation des lois et règlements et autres documents officiels qui régissent les organisations de la société civile et des domaines stratégiques.
(AIP)
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