Manquant de fonds propres, la Société ivoirienne de raffinage retarde son plan d'extension. Elle espère lever 200 millions de dollars auprès des banques.
La Société ivoirienne de raffinage (SIR) peut-elle être la grande perdante de la croissance ivoirienne ? Plus de trois ans après l'arrivée d'Alassane Ouattara au pouvoir, qui a fait de l'économie le marqueur de son mandat, la première entreprise industrielle du pays doit sans cesse solliciter des investisseurs pour lever les fonds nécessaires aux financements de ses achats de pétrole brut.
Marges réduites
Si son chiffre d'affaires est impressionnant à l'échelle du pays - 1 608,5 milliards de F CFA (2,4 milliards d'euros) en 2012 -, ses marges extrêmement réduites ne lui permettent pas de... suite de l'article sur Jeune Afrique
La Société ivoirienne de raffinage (SIR) peut-elle être la grande perdante de la croissance ivoirienne ? Plus de trois ans après l'arrivée d'Alassane Ouattara au pouvoir, qui a fait de l'économie le marqueur de son mandat, la première entreprise industrielle du pays doit sans cesse solliciter des investisseurs pour lever les fonds nécessaires aux financements de ses achats de pétrole brut.
Marges réduites
Si son chiffre d'affaires est impressionnant à l'échelle du pays - 1 608,5 milliards de F CFA (2,4 milliards d'euros) en 2012 -, ses marges extrêmement réduites ne lui permettent pas de... suite de l'article sur Jeune Afrique