Abidjan - Le ministère de l’Industrie et des Mines appelle les opérateurs économiques, désireux d’investir dans le développement de la filière anacarde, à monter des projets viables susceptibles d’être financés par les banques commerciales.
"Les banques sont à pied d’œuvre pour faciliter l’accès au crédit. Il importe que les opérateurs économiques qui veulent investir dans le développement de la filière anacarde, montent des projets viables qui puissent rencontrer un écho favorable auprès des structures bancaires", a souhaité Essé Rodrigue, jeudi, lors d’un atelier sur le thème "Environnement des affaires en Côte d’Ivoire, cas de la filière anacarde".
Selon le conférencier, la filière anacarde est en ce moment confrontée à une faible capacité de transformation (90% de la production exportée) à cause, entre autres raisons, des difficultés de financement, du choix technologique souvent inadapté, de la faible capacité managériale et de gestion de promoteurs d’entreprises, de la maîtrise insuffisante des bonnes pratiques de production au niveau industriel et de la faiblesse capacité des transformateurs à respecter les normes.
M. Essé a donc exhorté les investisseurs à se rapprocher du Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI), des ministères de l’Agriculture et de l’Industrie, afin d’avoir des informations sur le programme de transformation de l’anacarde et le projet d’appui au secteur agricole, en son volet "Soutien à la transformation de l’anacarde".
Cette intervention du représentant du ministère de l’Industrie et des Mines s’inscrit dans le cadre du premier Salon international des équipements et des technologies de transformations de l’anacarde (SIETTA) qui se tient de mercredi à vendredi au palais des sports de Treichville.
Placé sous le thème "Promouvoir les équipements et les technologies de transformation de l’anacarde pour une Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020", ce salon est marqué par des expositions et des ateliers thématiques, rappelle-t-on.
(AIP)
Fmo/kp
"Les banques sont à pied d’œuvre pour faciliter l’accès au crédit. Il importe que les opérateurs économiques qui veulent investir dans le développement de la filière anacarde, montent des projets viables qui puissent rencontrer un écho favorable auprès des structures bancaires", a souhaité Essé Rodrigue, jeudi, lors d’un atelier sur le thème "Environnement des affaires en Côte d’Ivoire, cas de la filière anacarde".
Selon le conférencier, la filière anacarde est en ce moment confrontée à une faible capacité de transformation (90% de la production exportée) à cause, entre autres raisons, des difficultés de financement, du choix technologique souvent inadapté, de la faible capacité managériale et de gestion de promoteurs d’entreprises, de la maîtrise insuffisante des bonnes pratiques de production au niveau industriel et de la faiblesse capacité des transformateurs à respecter les normes.
M. Essé a donc exhorté les investisseurs à se rapprocher du Centre de promotion des investissements en Côte d’Ivoire (CEPICI), des ministères de l’Agriculture et de l’Industrie, afin d’avoir des informations sur le programme de transformation de l’anacarde et le projet d’appui au secteur agricole, en son volet "Soutien à la transformation de l’anacarde".
Cette intervention du représentant du ministère de l’Industrie et des Mines s’inscrit dans le cadre du premier Salon international des équipements et des technologies de transformations de l’anacarde (SIETTA) qui se tient de mercredi à vendredi au palais des sports de Treichville.
Placé sous le thème "Promouvoir les équipements et les technologies de transformation de l’anacarde pour une Côte d’Ivoire émergente à l’horizon 2020", ce salon est marqué par des expositions et des ateliers thématiques, rappelle-t-on.
(AIP)
Fmo/kp