Yamoussoukro - Le préfet de la région du Bélier et du département de Yamoussoukro, André Ekponon, a déclaré lundi que 5.500 personnes, dont 106 femmes enceintes et huit enfants, sont actuellement malades du Sida à Yamoussoukro.
A l’occasion de la célébration de la 27ème journée mondiale du VIH/Sida, le préfet Ekponon s’est appesanti sur la pandémie qui, estime-t-il, est "une infection de trop".
Selon l’autorité préfectorale, en 2013, l’on a enregistré 131 décès chez les hommes et 266 au niveau des femmes.
Une année auparavant, soit en 2012, à écouter le préfet de la région du Bélier, ce sont 291 décès dont 165 au niveau des femmes qui ont été attribués au VIH/Sida.
Face à ce "tableau sombre" dressé par les autorités sanitaires, André Ekponon invite la population à prendre conscience du danger que représente le Sida en Côte d'Ivoire.
Il a exhorté ses administrés et la population de la capitale politique ivoirienne à se faire dépister et à la prévention, particulièrement les élèves à qui il a demandé de s'abstenir des rapports sexuels pour préserver leur vie scolaire.
Le préfet a invité les uns les autres à s'impliquer dans la lutte pour que d'ici à 2020 la Côte d'Ivoire atteigne "zéro nouvelle infection, zéro décès attribué au Sida et zéro discrimination", thème de l'édition 2014.
Organisée par le comité régional de lutte contre le Sida dirigé par le préfet André Ekponon, avec l'appui de l'ONUSIDA et l'UNFPA, la journée mondiale de lutte contre le Sida à Yamoussoukro a enregistré la participation des associations d'élèves, des organisations, ONG et réseaux exerçant dans le domaine de la lutte contre la pandémie.
nam/kp
A l’occasion de la célébration de la 27ème journée mondiale du VIH/Sida, le préfet Ekponon s’est appesanti sur la pandémie qui, estime-t-il, est "une infection de trop".
Selon l’autorité préfectorale, en 2013, l’on a enregistré 131 décès chez les hommes et 266 au niveau des femmes.
Une année auparavant, soit en 2012, à écouter le préfet de la région du Bélier, ce sont 291 décès dont 165 au niveau des femmes qui ont été attribués au VIH/Sida.
Face à ce "tableau sombre" dressé par les autorités sanitaires, André Ekponon invite la population à prendre conscience du danger que représente le Sida en Côte d'Ivoire.
Il a exhorté ses administrés et la population de la capitale politique ivoirienne à se faire dépister et à la prévention, particulièrement les élèves à qui il a demandé de s'abstenir des rapports sexuels pour préserver leur vie scolaire.
Le préfet a invité les uns les autres à s'impliquer dans la lutte pour que d'ici à 2020 la Côte d'Ivoire atteigne "zéro nouvelle infection, zéro décès attribué au Sida et zéro discrimination", thème de l'édition 2014.
Organisée par le comité régional de lutte contre le Sida dirigé par le préfet André Ekponon, avec l'appui de l'ONUSIDA et l'UNFPA, la journée mondiale de lutte contre le Sida à Yamoussoukro a enregistré la participation des associations d'élèves, des organisations, ONG et réseaux exerçant dans le domaine de la lutte contre la pandémie.
nam/kp