Au regard de la densité du réseau d’un linéaire de plus de 82 000 km de routes, plus de 2 750 milliards de francs CFA sont nécessaires pour déployer plus de 70% des routes dans un état de bon à moyen. C’est une révélation du Directeur Général du Fonds d’entretien routier (FER) Siandou Fofana, à l’ouverture d’un séminaire regroupant la Direction Général et le Conseil d’Administration de ladite entreprise, à Yamoussoukro, le 3 décembre dernier.
Il a rappelé aux séminaristes que le contexte économique et politique qui évolue au rythme de la volonté de bâtir l’émergence économique de la Côte d’Ivoire commande à l’entreprise qu’il dirige, d’adopter des réflexes nouveaux avec une vision nouvelle qui orienteront des actions capables de déployer des routes en état de praticabilité appréciable de tous. Cette mission commande aussi inéluctablement d’importants moyens financiers capables de couvrir l’ensemble des besoins ou à défaut plus les 7/10ème des besoins, a fait savoir le Directeur Général du FER.
Pour réussir sa mission, le FER a adopté la stratégie de remise à niveau du réseau routier national qui vise à restaurer ledit réseau en trois volets, notamment traiter les points à temps, procéder à des travaux de réhabilitation, puis enfin financer les travaux neufs. Cette stratégie devra se dérouler sous un horizon de 10 ans. Siandou Fofana a engagé l’entreprise qu’il dirige à respecter la moyenne annuelle de mobilisation de 275 milliards de francs CFA pour financer cette stratégie.
Une telle vision commande de revoir le cadre institutionnel du FER en adoptant les statuts du Fonds Routier, a estimé le DG. Devenir Fonds Routier permettra au FER de couvrir tout le cycle de financement de la route avec la possibilité de renforcer la culture de performance et faciliter l’exercice budgétaire.
Le seul moyen pour le FER de couvrir ses besoins annuels de financement demeure d’une part, en dehors du péage qui doit s’étendre et la mise en marche du pesage, le démarrage pour 2015 des airs de repos et de stationnement en y apportant des innovations en fonction des besoins locaux des localités traversées. Et d’autre part le concept des marchés africains qui vise à créer plus de sécurité sur l’autoroute en évitant les ventes sur toute la longueur de la chaussée. Toute chose qui permettra les levées de Fonds en vue de renforcer l’assiette des ressources propres du FER.
Ouvert le 3 décembre pour s’achever le 6 décembre, ce séminaire a pour but d’informer, de renseigner et d’orienter l’ensemble de la Direction général et du Conseil d’Administration en vue d’une meilleure compréhension des outils et des actions du Fonds d’Entretien Routier (FER). Il enregistre la participation outre du DG du FER, Siandou Fofana du Président du Conseil d’Administration, Diakité Coty.
Il a rappelé aux séminaristes que le contexte économique et politique qui évolue au rythme de la volonté de bâtir l’émergence économique de la Côte d’Ivoire commande à l’entreprise qu’il dirige, d’adopter des réflexes nouveaux avec une vision nouvelle qui orienteront des actions capables de déployer des routes en état de praticabilité appréciable de tous. Cette mission commande aussi inéluctablement d’importants moyens financiers capables de couvrir l’ensemble des besoins ou à défaut plus les 7/10ème des besoins, a fait savoir le Directeur Général du FER.
Pour réussir sa mission, le FER a adopté la stratégie de remise à niveau du réseau routier national qui vise à restaurer ledit réseau en trois volets, notamment traiter les points à temps, procéder à des travaux de réhabilitation, puis enfin financer les travaux neufs. Cette stratégie devra se dérouler sous un horizon de 10 ans. Siandou Fofana a engagé l’entreprise qu’il dirige à respecter la moyenne annuelle de mobilisation de 275 milliards de francs CFA pour financer cette stratégie.
Une telle vision commande de revoir le cadre institutionnel du FER en adoptant les statuts du Fonds Routier, a estimé le DG. Devenir Fonds Routier permettra au FER de couvrir tout le cycle de financement de la route avec la possibilité de renforcer la culture de performance et faciliter l’exercice budgétaire.
Le seul moyen pour le FER de couvrir ses besoins annuels de financement demeure d’une part, en dehors du péage qui doit s’étendre et la mise en marche du pesage, le démarrage pour 2015 des airs de repos et de stationnement en y apportant des innovations en fonction des besoins locaux des localités traversées. Et d’autre part le concept des marchés africains qui vise à créer plus de sécurité sur l’autoroute en évitant les ventes sur toute la longueur de la chaussée. Toute chose qui permettra les levées de Fonds en vue de renforcer l’assiette des ressources propres du FER.
Ouvert le 3 décembre pour s’achever le 6 décembre, ce séminaire a pour but d’informer, de renseigner et d’orienter l’ensemble de la Direction général et du Conseil d’Administration en vue d’une meilleure compréhension des outils et des actions du Fonds d’Entretien Routier (FER). Il enregistre la participation outre du DG du FER, Siandou Fofana du Président du Conseil d’Administration, Diakité Coty.
