Daoukro – Dr Thiam Marguerite du Programme national de lutte contre le Sida (PNLS), présentant le bilan de la lutte contre le VIH/Sida en Côte d’Ivoire à Daoukro, a révélé que le taux de prévalence reste très élevé au niveau des professionnels du sexe alors que celui du niveau national se situe autour de 2,7%.
"Le taux de prévalence national qui se situe à 2,7% aujourd’hui, après plusieurs années de combat, est mis à mal par les taux de prévalence très élevés au niveau des professionnels du sexe (11,4%) et des homosexuels (18%)", a déploré la spécialiste.
Selon elle, les interactions entre ces populations étant restées élevées, "nous risquons de nouvelles contaminations", prévient Dr Thiam.
L’experte du PNLS s’exprimait, mercredi, à l’ouverture de la 4ème édition de l’atelier bilan des interventions de lutte contre le Sida au niveau des populations clés et populations hautement vulnérables organisé par le ministère de la Santé et de la Lutte contre le Sida, en collaboration avec le FNLS (Fonds national de lutte contre le Sida) et des ONG engagées dans la lutte contre le Sida.
Les professionnels de la santé se réunissent dans la capitale régionale de l’Iffou, du 08 au 11 décembre 2014, pour faire le bilan des actions menées pour une baisse du taux de prévalence au niveau des populations.
L’objectif de cet atelier, explique-t-on, est de présenter les résultats des actions menées pour la lutte contre le VIH/Sida de façon générale, mais encore de réviser les stratégies en vue d’améliorer les interventions de lutte contre cette pandémie.
"Inviter les populations au dépistage systématique et rendre les soins disponibles permettront de contenir et de briser cette épidémie au niveau de la population", a indiqué, pour sa part, le Conseiller technique de la division de prévention population hautement vulnérable du PEPFAR, Dr Diarrassouba Mamadou.
Il a également conseillé de cibler les interventions, de toucher les bonnes personnes au bon endroit et au bon moment.
ca/kkf/kp
"Le taux de prévalence national qui se situe à 2,7% aujourd’hui, après plusieurs années de combat, est mis à mal par les taux de prévalence très élevés au niveau des professionnels du sexe (11,4%) et des homosexuels (18%)", a déploré la spécialiste.
Selon elle, les interactions entre ces populations étant restées élevées, "nous risquons de nouvelles contaminations", prévient Dr Thiam.
L’experte du PNLS s’exprimait, mercredi, à l’ouverture de la 4ème édition de l’atelier bilan des interventions de lutte contre le Sida au niveau des populations clés et populations hautement vulnérables organisé par le ministère de la Santé et de la Lutte contre le Sida, en collaboration avec le FNLS (Fonds national de lutte contre le Sida) et des ONG engagées dans la lutte contre le Sida.
Les professionnels de la santé se réunissent dans la capitale régionale de l’Iffou, du 08 au 11 décembre 2014, pour faire le bilan des actions menées pour une baisse du taux de prévalence au niveau des populations.
L’objectif de cet atelier, explique-t-on, est de présenter les résultats des actions menées pour la lutte contre le VIH/Sida de façon générale, mais encore de réviser les stratégies en vue d’améliorer les interventions de lutte contre cette pandémie.
"Inviter les populations au dépistage systématique et rendre les soins disponibles permettront de contenir et de briser cette épidémie au niveau de la population", a indiqué, pour sa part, le Conseiller technique de la division de prévention population hautement vulnérable du PEPFAR, Dr Diarrassouba Mamadou.
Il a également conseillé de cibler les interventions, de toucher les bonnes personnes au bon endroit et au bon moment.
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