Le ministre ivoirien du Plan et du Développement Albert Toikeusse Mabri a révélé lundi à Abidjan qu'un enfant sur neuf en Côte d'Ivoire meurt avant d'atteindre l'âge de cinq ans.
"En Côte d'Ivoire, un enfant sur neuf meurt avant l'âge de cinq ans, principalement de maladies que l'on peut éviter ou guérir comme le paludisme, les infections respiratoires et la diarrhée", a déclaré M. Mabri qui accordait un entretien à des médias.
Le ministre a ainsi plaidé pour des actions d'envergure dans le sens de l'épanouissement sanitaire et social de l'enfant.
Il a en outre appelé au respect des droits des enfants.
"2,8 millions d'enfants en Côte d'Ivoire n'ont pas d'actes de naissance sur une population de 22 millions d'habitants", a-t-il aussi dénoncé.
"30% d'enfants souffrent de malnutrition chronique ou de retard de croissance", a noté par ailleurs Albert Toikeusse Mabri, citant le rapport 2014 de l'UNICEF sur la situation des enfants en Côte d'Ivoire.
"Cette malnutrition a contribué en 2005 à 33% de décès infantiles", a-t-il ajouté, estimant que les enfants en Côte d'Ivoire sont aussi exposés à de multiples formes de violences, abus et exploitations comme l'excision, les châtiments corporels, le viol.
Face à ce constat, le ministre a encouragé toutes les initiatives visant à éliminer les pratiques sociales et culturelles néfastes affectant les enfants.
La promotion des droits des enfants constitue une préoccupation pour les différents acteurs sociaux.
A plusieurs occasions, les autorités ivoiriennes ont exprimé leur engagement à assurer une protection accrue des enfants, afin de faire de ceux-ci des adultes épanouis de demain.
"En Côte d'Ivoire, un enfant sur neuf meurt avant l'âge de cinq ans, principalement de maladies que l'on peut éviter ou guérir comme le paludisme, les infections respiratoires et la diarrhée", a déclaré M. Mabri qui accordait un entretien à des médias.
Le ministre a ainsi plaidé pour des actions d'envergure dans le sens de l'épanouissement sanitaire et social de l'enfant.
Il a en outre appelé au respect des droits des enfants.
"2,8 millions d'enfants en Côte d'Ivoire n'ont pas d'actes de naissance sur une population de 22 millions d'habitants", a-t-il aussi dénoncé.
"30% d'enfants souffrent de malnutrition chronique ou de retard de croissance", a noté par ailleurs Albert Toikeusse Mabri, citant le rapport 2014 de l'UNICEF sur la situation des enfants en Côte d'Ivoire.
"Cette malnutrition a contribué en 2005 à 33% de décès infantiles", a-t-il ajouté, estimant que les enfants en Côte d'Ivoire sont aussi exposés à de multiples formes de violences, abus et exploitations comme l'excision, les châtiments corporels, le viol.
Face à ce constat, le ministre a encouragé toutes les initiatives visant à éliminer les pratiques sociales et culturelles néfastes affectant les enfants.
La promotion des droits des enfants constitue une préoccupation pour les différents acteurs sociaux.
A plusieurs occasions, les autorités ivoiriennes ont exprimé leur engagement à assurer une protection accrue des enfants, afin de faire de ceux-ci des adultes épanouis de demain.