Abidjan - Une vaste campagne de vaccination gratuite contre la méningite A, marquant d’ailleurs l’introduction d’un nouveau "vaccin conjugué" de l’OMS contre la maladie, le "MenAfricvac", s’ouvre ce vendredi dans le Nord et le Centre de la Côte d’Ivoire.
La campagne qui prendra fin le 21 décembre prochain, va couvrir "25 départements sanitaires répartis sur sept régions sanitaires" jugés à haut risque épidémiologique.
Il s’agit notamment des districts sanitaires de Minignan, Odienné, Touba, Tengréla, Boudiali, Korhogo, Ouangolodougou, Ferké, Bouna, Nassian, Bondoukou, Tanda, Séguéla, Mankono, Niakara, Dabakala, Katiola, Bouaké Nord-Ouest, Bouaké Nord-Est, Bouaké Sud, Sakassou, Béoumi, Bouaflé, Sinfra et de Zuénoula.
Quelque 4,5 millions de personnes sont visées par cette campagne avec une priorité accordée à celles dont l’âge est compris entre un et 29 ans.
La tranche d’âge, selon des données scientifiques, est "la plus vulnérable" dans ces régions, a expliqué l’Institut national d’hygiène publique (INHP) qui conduit la campagne, en partenariat avec GAVI Alliance (un partenariat public- privé qui développe et soutient des méthodes innovantes pour élargir la vaccination dans les pays pauvres), l’Unicef et l’OMS.
La campagne, relève-t-on, marque l’introduction en Côte d’Ivoire du nouveau "vaccin conjugué" de l’OMS, dénommé le "MenAfricvac", contre la méningite qui, contrairement à l’ancien, offre une plus longue immunité (10 ans, voire plus, contre trois).
Le "MenAfrivac", en plus de l’immunité longue durée, peut être administré aux enfants de moins de deux ans (ce qui n’était le cas pour l’ancien), signale-t-on.
Son introduction en Côte d’Ivoire s’inscrit dans le cadre de la mission du projet MVP (projet vaccins méningite) qui vise notamment l’élimination des épidémies de méningite en tant que problème de santé publique en Afrique subsaharienne par le développement, la mise au point, l’introduction et l’utilisation à grande échelle de vaccins conjugués contre les méningocoques.
kg/kp
La campagne qui prendra fin le 21 décembre prochain, va couvrir "25 départements sanitaires répartis sur sept régions sanitaires" jugés à haut risque épidémiologique.
Il s’agit notamment des districts sanitaires de Minignan, Odienné, Touba, Tengréla, Boudiali, Korhogo, Ouangolodougou, Ferké, Bouna, Nassian, Bondoukou, Tanda, Séguéla, Mankono, Niakara, Dabakala, Katiola, Bouaké Nord-Ouest, Bouaké Nord-Est, Bouaké Sud, Sakassou, Béoumi, Bouaflé, Sinfra et de Zuénoula.
Quelque 4,5 millions de personnes sont visées par cette campagne avec une priorité accordée à celles dont l’âge est compris entre un et 29 ans.
La tranche d’âge, selon des données scientifiques, est "la plus vulnérable" dans ces régions, a expliqué l’Institut national d’hygiène publique (INHP) qui conduit la campagne, en partenariat avec GAVI Alliance (un partenariat public- privé qui développe et soutient des méthodes innovantes pour élargir la vaccination dans les pays pauvres), l’Unicef et l’OMS.
La campagne, relève-t-on, marque l’introduction en Côte d’Ivoire du nouveau "vaccin conjugué" de l’OMS, dénommé le "MenAfricvac", contre la méningite qui, contrairement à l’ancien, offre une plus longue immunité (10 ans, voire plus, contre trois).
Le "MenAfrivac", en plus de l’immunité longue durée, peut être administré aux enfants de moins de deux ans (ce qui n’était le cas pour l’ancien), signale-t-on.
Son introduction en Côte d’Ivoire s’inscrit dans le cadre de la mission du projet MVP (projet vaccins méningite) qui vise notamment l’élimination des épidémies de méningite en tant que problème de santé publique en Afrique subsaharienne par le développement, la mise au point, l’introduction et l’utilisation à grande échelle de vaccins conjugués contre les méningocoques.
kg/kp