Le Gouvernement ivoirien et les laboratoires Hoffman La Roche ont signé, lundi 15 décembre, en présence du Premier ministre Daniel Kablan Duncan, un partenariat pour améliorer l’accès aux traitements innovants pour la prise en charge du traitement des hépatites virales B, C et D et du cancer du sein chez les personnes à faible revenus. L’accord conclu sur la base des programmes « accès hépatite » et « accès cancer du sein » est valide pour une période de cinq ans à compter du 1er janvier 2015.
Présidant la signature de ce partenariat à son cabinet, le Chef du Gouvernement a exprimé sa gratitude à M. Peter Hug, président Europe de l’Est, Moyen orient et Afrique du groupe pharmaceutique suisse, pour avoir choisi la Côte d’Ivoire alors que plusieurs autres pays en faisaient la demande.
Il a souligné que ce projet permettra de faire reculer le cancer du sein qui, avec ses 2.500 cas détectés chaque année en Côte d’Ivoire, représente le premier cancer chez la femme tandis que celui du foie qui est une évolution des hépatites virales, est la première cause de cancer chez l’homme.
Saluant ce « bel exemple de partenariat public-privé dans le domaine de la santé », Daniel Kablan Duncan a indiqué que cette convention épouse la vision du Chef de l’Etat qui ambitionne de faire d’Abidjan un pôle régional d’excellence dans le domaine médical.
Pour sa part, Mme le ministre de la Santé et de la Lutte contre le SIDA, Dr Raymonde Goudou, s’est réjoui de la réduction des coûts que devrait entrainer ce partenariat pour les patients, surtout ceux à faible revenus. Car, le coût élevé des traitements constitue à ce jour, un « véritable frein » pour ceux-ci, a-t-elle déploré.
Ainsi, dès 2015, ce sont 3000 personnes qui pourront avoir accès aux traitements contre les hépatites virales et 1000 autres contre le cancer du sein pendant la période du partenariat, a-t-elle révélé.
Peter Hug, quant à lui, a confié que la signature de ce partenariat est une illustration de l’engagement du groupe pharmaceutique helvétique en Côte d’Ivoire.
« Cet accord permettra à beaucoup plus de patients en Côte d’Ivoire de pouvoir se soigner avec des médicaments innovants pour l’hépatite et le cancer du sein », a-t-il assuré.
Notons que les hépatites virales B, C et D et le cancer du sein constituent des problèmes de santé publique en Côte d’Ivoire comme dans de nombreux pays d’Afrique sub-saharienne et posent généralement le défi de l’accès à un traitement abordable, en particulier pour les ménages.
Présidant la signature de ce partenariat à son cabinet, le Chef du Gouvernement a exprimé sa gratitude à M. Peter Hug, président Europe de l’Est, Moyen orient et Afrique du groupe pharmaceutique suisse, pour avoir choisi la Côte d’Ivoire alors que plusieurs autres pays en faisaient la demande.
Il a souligné que ce projet permettra de faire reculer le cancer du sein qui, avec ses 2.500 cas détectés chaque année en Côte d’Ivoire, représente le premier cancer chez la femme tandis que celui du foie qui est une évolution des hépatites virales, est la première cause de cancer chez l’homme.
Saluant ce « bel exemple de partenariat public-privé dans le domaine de la santé », Daniel Kablan Duncan a indiqué que cette convention épouse la vision du Chef de l’Etat qui ambitionne de faire d’Abidjan un pôle régional d’excellence dans le domaine médical.
Pour sa part, Mme le ministre de la Santé et de la Lutte contre le SIDA, Dr Raymonde Goudou, s’est réjoui de la réduction des coûts que devrait entrainer ce partenariat pour les patients, surtout ceux à faible revenus. Car, le coût élevé des traitements constitue à ce jour, un « véritable frein » pour ceux-ci, a-t-elle déploré.
Ainsi, dès 2015, ce sont 3000 personnes qui pourront avoir accès aux traitements contre les hépatites virales et 1000 autres contre le cancer du sein pendant la période du partenariat, a-t-elle révélé.
Peter Hug, quant à lui, a confié que la signature de ce partenariat est une illustration de l’engagement du groupe pharmaceutique helvétique en Côte d’Ivoire.
« Cet accord permettra à beaucoup plus de patients en Côte d’Ivoire de pouvoir se soigner avec des médicaments innovants pour l’hépatite et le cancer du sein », a-t-il assuré.
Notons que les hépatites virales B, C et D et le cancer du sein constituent des problèmes de santé publique en Côte d’Ivoire comme dans de nombreux pays d’Afrique sub-saharienne et posent généralement le défi de l’accès à un traitement abordable, en particulier pour les ménages.