Arrivé le 17 décembre à Abidjan pour une mission de trois jours, le Directeur exécutif de l’ONUSIDA, M. Michel Sidibé a été reçu en audience, jeudi 18 décembre 2014, par le Premier ministre, ministre de l’Economie, des Finances et du Budget, M. Daniel Kablan Duncan à son cabinet.
A l’issue des échanges auxquels a pris part la ministre de la Santé et de la Lutte contre le SIDA, Dr Raymonde Goudou Coffie, M. Michel Sidibé a noté comme défis majeurs dans le combat contre le SIDA, la nécessité d’investir dans la recherche en Afrique pour faire émerger un savoir-faire, 80% médicaments pour traiter cette épidémie étant produits hors du continent. En la matière, il a indiqué que la Côte d’Ivoire peut être « un point d’ancrage » pour la transformation et la production de ces traitements.
L’autre défi mentionné par le responsable de l’ONUSIDA est l’accès au traitement pédiatrique, car a-t-il noté, seulement 8% des nourrissons détectés séropositifs ont accès au traitement en Côte d’Ivoire.
Par ailleurs, il s’est réjoui des avancées obtenues par les autorités ivoiriennes dans la lutte contre le VIH SIDA. « La Côte d’Ivoire est en train de transformer complètement cette lutte », a-t-il déclaré en soulignant une baisse des nouvelles infections, une réduction de 40% de la transmission de la mère à l’enfant et une augmentation des personnes ayant accès au traitement.
Un acquis déterminant puisque selon le Directeur exécutif de l’ONUSIDA, la capacité de transmission d’une personne infectée est réduite de 96% lorsque cette personne est mise sous traitement.
A l’issue des échanges auxquels a pris part la ministre de la Santé et de la Lutte contre le SIDA, Dr Raymonde Goudou Coffie, M. Michel Sidibé a noté comme défis majeurs dans le combat contre le SIDA, la nécessité d’investir dans la recherche en Afrique pour faire émerger un savoir-faire, 80% médicaments pour traiter cette épidémie étant produits hors du continent. En la matière, il a indiqué que la Côte d’Ivoire peut être « un point d’ancrage » pour la transformation et la production de ces traitements.
L’autre défi mentionné par le responsable de l’ONUSIDA est l’accès au traitement pédiatrique, car a-t-il noté, seulement 8% des nourrissons détectés séropositifs ont accès au traitement en Côte d’Ivoire.
Par ailleurs, il s’est réjoui des avancées obtenues par les autorités ivoiriennes dans la lutte contre le VIH SIDA. « La Côte d’Ivoire est en train de transformer complètement cette lutte », a-t-il déclaré en soulignant une baisse des nouvelles infections, une réduction de 40% de la transmission de la mère à l’enfant et une augmentation des personnes ayant accès au traitement.
Un acquis déterminant puisque selon le Directeur exécutif de l’ONUSIDA, la capacité de transmission d’une personne infectée est réduite de 96% lorsque cette personne est mise sous traitement.