Abidjan - Trente maires des communes de Côte d’Ivoire ont affiché leur volonté de mettre fin à l’épidémie du SIDA dans le monde d’ici 2030, en paraphant sous l’égide du district d’Abidjan et l’ONUSIDA la ‘’Déclaration de Paris 2014’’ en présence du Directeur exécutif Michel Sidibé et du Gouverneur Robert Beugré Mambé, lors d’une cérémonie vendredi au district d’Abidjan.
Ces maires, notamment de Koumassi, de Dabou, de Sikensi, de Port-Bouêt, en signant cette déclaration emboîtent ainsi le pas aux grandes villes du monde qui le 1er décembre 2014, ont consolidé à Paris leur volonté de conjuguer leurs efforts pour endiguer la pandémie du sida dans le monde dans la perspective des 90- 90- 90 d’ici 2030.
Pour Beugré Mambé, saluant cette déclaration de Paris 2014, qui, a-t-il affirmé présente une vision holistique englobant spiritualité, savoir, savoir-être, savoir-faire et relation avec les autres, " la victoire sur le Sida ne sera totale que si chacun de nous est habité d'un esprit de chevalerie, celle de l'esprit et de l'action orientée vers le bien être est autres, celle qui nous instruit de nous fondre à la souffrance d'autrui".
Relevant la solidarité dont a fait montre le monde pour la riposte à la pandémie, Michel Sidibé a exhorté les maires à œuvrer pour un avenir plus équitable, inclusif, prospères et durable pour leur population". Et cela passe, stipule Paris 2014, par l’accès de chaque habitant aux services de bases en matière de prévention, de traitement, de soins et de soutien pour le VIH et la tuberculose qui passe notamment des actions locales.
Quant au porte-parole du réseau ivoirien des personnes vivant avec le VIH,(RIP), Coulibaly Yaya, qui a plaidé pour une intégration du réseau ivoirien des personnes vivant avec le VIH (RIP) dans les coalitions centrales et un soutien plus accru aux organisations non gouvernementales en financement afin de sensibiliser et dépister les populations à risques.
Alors que le représentant du ministre de la Sécurité et de l’Intérieur, Parfait Gohourou, directeur général de la décentralisation, préconisait au élus ivoiriens de mettre un accent particulier sur ‘’le point 5’’ de la Déclaration de Paris qui lui semble ‘’réaliste et adapté’’ à la situation spécifique des communes ivoiriennes : ‘’ construire et accélérer une riposte aux besoins locaux’’.
(AIP)
ik/tm
Ces maires, notamment de Koumassi, de Dabou, de Sikensi, de Port-Bouêt, en signant cette déclaration emboîtent ainsi le pas aux grandes villes du monde qui le 1er décembre 2014, ont consolidé à Paris leur volonté de conjuguer leurs efforts pour endiguer la pandémie du sida dans le monde dans la perspective des 90- 90- 90 d’ici 2030.
Pour Beugré Mambé, saluant cette déclaration de Paris 2014, qui, a-t-il affirmé présente une vision holistique englobant spiritualité, savoir, savoir-être, savoir-faire et relation avec les autres, " la victoire sur le Sida ne sera totale que si chacun de nous est habité d'un esprit de chevalerie, celle de l'esprit et de l'action orientée vers le bien être est autres, celle qui nous instruit de nous fondre à la souffrance d'autrui".
Relevant la solidarité dont a fait montre le monde pour la riposte à la pandémie, Michel Sidibé a exhorté les maires à œuvrer pour un avenir plus équitable, inclusif, prospères et durable pour leur population". Et cela passe, stipule Paris 2014, par l’accès de chaque habitant aux services de bases en matière de prévention, de traitement, de soins et de soutien pour le VIH et la tuberculose qui passe notamment des actions locales.
Quant au porte-parole du réseau ivoirien des personnes vivant avec le VIH,(RIP), Coulibaly Yaya, qui a plaidé pour une intégration du réseau ivoirien des personnes vivant avec le VIH (RIP) dans les coalitions centrales et un soutien plus accru aux organisations non gouvernementales en financement afin de sensibiliser et dépister les populations à risques.
Alors que le représentant du ministre de la Sécurité et de l’Intérieur, Parfait Gohourou, directeur général de la décentralisation, préconisait au élus ivoiriens de mettre un accent particulier sur ‘’le point 5’’ de la Déclaration de Paris qui lui semble ‘’réaliste et adapté’’ à la situation spécifique des communes ivoiriennes : ‘’ construire et accélérer une riposte aux besoins locaux’’.
(AIP)
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