Grand Bassam - Un "Marathon de la réconciliation" et une "Opération ville propre" ont marqué, samedi, la célébration du centenaire de la ville historique de Grand Bassam, patrimoine mondial de l’Unesco.
Près de huit cents personnes inscrites, issues de toutes les couches socio professionnelles, ont parcouru une distance de 2 km pour les vétérans et les femmes, et 4km pour les seniors et les jeunes lors de ce marathon. Les 5 premiers vétérans et les 15 premiers seniors et jeunes seront récompensés à la cérémonie de clôture prévue pour janvier.
Après la compétition sportive, le préfet de département, Beudjé Djoman Mathias, a procédé au lancement de l’opération ville propre qui durera un mois avec la distribution symbolique de matériel de salubrité, notamment des brouettes, râteaux, pelles, machettes, dabas, poubelles aux chefs de quartiers et de villages de la commune.
« Le problème de salubrité me tient à cœur car, c’est l’un des indicateurs de l’évaluation de l’Unesco », a expliqué M. Djoman.
« Il faut s’approprier cette opération à laquelle j’attache du prix », a exhorté le Maire Philippe Ezaley, tout annonçant qu’en février 2015, l’UNESCO viendra évaluer le patrimoine.
(AIP)
ko/tm
Près de huit cents personnes inscrites, issues de toutes les couches socio professionnelles, ont parcouru une distance de 2 km pour les vétérans et les femmes, et 4km pour les seniors et les jeunes lors de ce marathon. Les 5 premiers vétérans et les 15 premiers seniors et jeunes seront récompensés à la cérémonie de clôture prévue pour janvier.
Après la compétition sportive, le préfet de département, Beudjé Djoman Mathias, a procédé au lancement de l’opération ville propre qui durera un mois avec la distribution symbolique de matériel de salubrité, notamment des brouettes, râteaux, pelles, machettes, dabas, poubelles aux chefs de quartiers et de villages de la commune.
« Le problème de salubrité me tient à cœur car, c’est l’un des indicateurs de l’évaluation de l’Unesco », a expliqué M. Djoman.
« Il faut s’approprier cette opération à laquelle j’attache du prix », a exhorté le Maire Philippe Ezaley, tout annonçant qu’en février 2015, l’UNESCO viendra évaluer le patrimoine.
(AIP)
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