Agboville - Une trentaine de projets sur 89 inscrits au budget 2014, connaissent un début d’exécution dans la région de l’Agnéby-Tiassa, a annoncé, mardi, le directeur des services techniques et des moyens généraux du conseil régional d'Agboville, Yokoli Kouadio François à la clôture de la quatrième session ordinaire.
Sur les 30 projets qui ont effectivement démarré et qui sont en voie de finition, cinq sont complètement achevés, a assuré M. Yokoli François, ajoutant que sur 89 projets inscrits au budget 2014, 87 bénéficient déjà d’appels d’offre et deux devraient l’être avant la fin de l'année.
Ces projets concernent une partie de ceux engagés et non achevés par les deux ex-conseils généraux de Tiassalé et Agboville budgétés en 2013 et 2014 ainsi que les nouveaux projets du Conseil régional de l’Agnéby-Tiassa. Ils relèvent essentiellement des secteurs de base, à savoir l’éducation et la santé.
"Les entreprises sont réticentes, car elles estiment que les conseils régionaux, en général, sont de mauvais payeurs", a regretté le directeur technique, qui a révélé que c’est la veille de la tenue de la session, que "les entreprises ont donné l’assurance d’engager les travaux dans la deuxième quinzaine de janvier".
"Les fonds existent, vous pouvez travailler tranquillement et vous serez payés", a indiqué le directeur des moyens généraux, rapportant les promesses du président du conseil régional, Mbolo Nando Martin.
(AIP)
dd/ask
Sur les 30 projets qui ont effectivement démarré et qui sont en voie de finition, cinq sont complètement achevés, a assuré M. Yokoli François, ajoutant que sur 89 projets inscrits au budget 2014, 87 bénéficient déjà d’appels d’offre et deux devraient l’être avant la fin de l'année.
Ces projets concernent une partie de ceux engagés et non achevés par les deux ex-conseils généraux de Tiassalé et Agboville budgétés en 2013 et 2014 ainsi que les nouveaux projets du Conseil régional de l’Agnéby-Tiassa. Ils relèvent essentiellement des secteurs de base, à savoir l’éducation et la santé.
"Les entreprises sont réticentes, car elles estiment que les conseils régionaux, en général, sont de mauvais payeurs", a regretté le directeur technique, qui a révélé que c’est la veille de la tenue de la session, que "les entreprises ont donné l’assurance d’engager les travaux dans la deuxième quinzaine de janvier".
"Les fonds existent, vous pouvez travailler tranquillement et vous serez payés", a indiqué le directeur des moyens généraux, rapportant les promesses du président du conseil régional, Mbolo Nando Martin.
(AIP)
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