Le procès de l’ex-Première dame ivoirienne Simone Gbagbo va s’ouvrir formellement vendredi à Abidjan, a appris Xinhua jeudi de source judiciaire.
Mme Gbagbo a été arrêtée en même temps que son époux en avril 2011. Elle est inculpée avec plus de 80 autres pro-Gbagbo par la justice ivoirienne pour "atteinte à la sûreté de l’Etat", une accusation liée à la crise postélectorale meurtrière de 2010-2011.
L’épouse de l’ex-président Laurent Gbagbo sera présente au tribunal d’Abidjan avec les autres prévenus parmi lesquels le président du Front populaire ivoirien (FPI, parti de Gbagbo) Pascal Affi N’Guessan et l’ancien Premier ministre Gilbert Aké N’Gbo.
La Cour pénale internationale (CPI) avait un mandat d’arrêt contre elle, pour crimes contre l’humanité commis lors des violences post-électorales et demandé à la Côte d’Ivoire de la transférer à La Haye.
Mais les autorités ivoiriennes n’ont pas accédé à la demande d’extradition de l’institution judiciaire internationale malgré son insistance, estimant que la Côte d’Ivoire est apte à juger Mme Gbagbo.
De l’avis du ministre de la Justie Gnénéma Coulibaly, la justice ivoirienne a les capacités de mener un procès correct.
"L’appareil judiciaire ivoirien est en état de fonctionnement parfait", a-t-il insisté.
Mme Gbagbo a été arrêtée en même temps que son époux en avril 2011. Elle est inculpée avec plus de 80 autres pro-Gbagbo par la justice ivoirienne pour "atteinte à la sûreté de l’Etat", une accusation liée à la crise postélectorale meurtrière de 2010-2011.
L’épouse de l’ex-président Laurent Gbagbo sera présente au tribunal d’Abidjan avec les autres prévenus parmi lesquels le président du Front populaire ivoirien (FPI, parti de Gbagbo) Pascal Affi N’Guessan et l’ancien Premier ministre Gilbert Aké N’Gbo.
La Cour pénale internationale (CPI) avait un mandat d’arrêt contre elle, pour crimes contre l’humanité commis lors des violences post-électorales et demandé à la Côte d’Ivoire de la transférer à La Haye.
Mais les autorités ivoiriennes n’ont pas accédé à la demande d’extradition de l’institution judiciaire internationale malgré son insistance, estimant que la Côte d’Ivoire est apte à juger Mme Gbagbo.
De l’avis du ministre de la Justie Gnénéma Coulibaly, la justice ivoirienne a les capacités de mener un procès correct.
"L’appareil judiciaire ivoirien est en état de fonctionnement parfait", a-t-il insisté.