Gagnoa – Le groupe scolaire de Gnatroa, à environ 40 km de Gagnoa, route de Guéyo, est une école primaire avec des salles de classes délabrées et vétustes et/ou construites en matériaux précaires, selon ses enseignants.
Ils se sont confiés à l’AIP, samedi, en marge du lancement du Gogoli Festival, relevant que l’école n’est ni électrifiée ni clôturée, toute chose qui la plonge dans le noir à la tombée de la nuit et enregistre la présence d'animaux sauvages, sa traversée par les personnes qui n’y ont rien à faire, mais aussi et surtout son utilisation comme hôtel de passe.
"Notre école n’a également pas de cantines, les logements de maîtres sont en nombre insuffisant et l’eau potable n’est pas au rendez-vous’’, ont énuméré Lambert Tomon et Jules Taya, les deux directeurs d’école, soutenus par le maître Camara Bangali, regrettant le manque d’engouement pour l’école des populations locales notamment les cadres.
Le groupe scolaire de Gnatroa compte deux écoles, l’école 1 et l’école 2. A l’image de la plupart des groupes scolaires de la région du Gôh, l’école 1 est construite en matériaux modernes, mais l’école 2 compte trois classes construites en matériaux précaires avec une toiture faite en bâche noire.
Les maîtres ont par ailleurs évoqué le manque de matériels didactiques et surtout l’insuffisance des tables-bancs.
"Dans notre école, nous manquons également de façon criante de tables bancs, ce déficit nous l’estimons à 300 tables-bancs’’, ont relevé les maîtres, sollicitant la tutelle et les bonnes volontés en l’occurrence les nombreux cadres du village pour soutenir le groupe scolaire de Gnatroa, pour le bonheur des nombreux enfants qui doivent fréquenter dans une école ayant les commodités requises.
(AIP)
ja/ask
Ils se sont confiés à l’AIP, samedi, en marge du lancement du Gogoli Festival, relevant que l’école n’est ni électrifiée ni clôturée, toute chose qui la plonge dans le noir à la tombée de la nuit et enregistre la présence d'animaux sauvages, sa traversée par les personnes qui n’y ont rien à faire, mais aussi et surtout son utilisation comme hôtel de passe.
"Notre école n’a également pas de cantines, les logements de maîtres sont en nombre insuffisant et l’eau potable n’est pas au rendez-vous’’, ont énuméré Lambert Tomon et Jules Taya, les deux directeurs d’école, soutenus par le maître Camara Bangali, regrettant le manque d’engouement pour l’école des populations locales notamment les cadres.
Le groupe scolaire de Gnatroa compte deux écoles, l’école 1 et l’école 2. A l’image de la plupart des groupes scolaires de la région du Gôh, l’école 1 est construite en matériaux modernes, mais l’école 2 compte trois classes construites en matériaux précaires avec une toiture faite en bâche noire.
Les maîtres ont par ailleurs évoqué le manque de matériels didactiques et surtout l’insuffisance des tables-bancs.
"Dans notre école, nous manquons également de façon criante de tables bancs, ce déficit nous l’estimons à 300 tables-bancs’’, ont relevé les maîtres, sollicitant la tutelle et les bonnes volontés en l’occurrence les nombreux cadres du village pour soutenir le groupe scolaire de Gnatroa, pour le bonheur des nombreux enfants qui doivent fréquenter dans une école ayant les commodités requises.
(AIP)
ja/ask