L'atmosphère était surchauffée, hier lundi 29 décembre 2014, au palais de justice d'Abidjan, au Plateau.
Des victimes de la crise post-électorale, conduites par le président du Collectif des victimes de Côte d'Ivoire (Cvci), Issiaka Diaby, ont manifesté bruyamment dans la salle ''des pas perdus'' du tribunal de première instance d'Abidjan, juste devant la salle d'audience de la Cour d'appel, où se tient depuis le vendredi 26 décembre 2014, le procès de Simone Gbagbo et des 82 partisans de l'ex-président Laurent Gbagbo. Brandissant des pancartes sur lesquelles l'on pouvait lire : « Simone Gbagbo, il est l'heure de la rédiction des comptes », ou encore, « Nous sommes les victimes de Simone Gbagbo, nous voulons participer au procès », ou bien, « Simone, tes actes de crime... suite de l'article sur Soir Info
Des victimes de la crise post-électorale, conduites par le président du Collectif des victimes de Côte d'Ivoire (Cvci), Issiaka Diaby, ont manifesté bruyamment dans la salle ''des pas perdus'' du tribunal de première instance d'Abidjan, juste devant la salle d'audience de la Cour d'appel, où se tient depuis le vendredi 26 décembre 2014, le procès de Simone Gbagbo et des 82 partisans de l'ex-président Laurent Gbagbo. Brandissant des pancartes sur lesquelles l'on pouvait lire : « Simone Gbagbo, il est l'heure de la rédiction des comptes », ou encore, « Nous sommes les victimes de Simone Gbagbo, nous voulons participer au procès », ou bien, « Simone, tes actes de crime... suite de l'article sur Soir Info