Bouaflé, Un carrefour a été aménagé à l’entrée du nouveau pont de Bouaflé (Centre-ouest, région de la Marahoué) pour permettre la fluidité du trafic routier, a constaté sur place l’AIP.
Selon l’ingénieur d’ouvrage d’art, chargé de la mission de contrôle pour la construction du nouveau pont, El hadj Yaya Massahoudou, il est judicieux d’aménager un carrefour pour les automobilistes qui viendront directement de la ville de Bouaflé et ceux qui emprunteront la voie de contournement en provenance de Yamoussoukro.
"Ce carrefour permettra de donner la priorité à certains au détriment des autres pour éviter la collision", a-t-il affirmé.
M. Massahoudou a également expliqué que les automobilistes qui viendront de la ville de Daloa et empruntant la voie de contournement pour Yamoussoukro auront leur couloir. Il en de même pour les conducteurs désirant emprunter la voie qui se dirige vers la ville de Bouaflé.
"Dans tous les cas, les automobilistes qui emprunteront ces deux voies de Daloa et de Bouaflé auront la priorité", a-t-il indiqué, soulignant, en revanche, que les automobilistes provenant de Yamoussoukro, par la voie de contournement, n’ont pas la priorité et sont obligés de marquer un arrêt au carrefour.
Tout en reconnaissant la complexité du carrefour, le chargé de la mission de contrôle a rappelé la visite, en octobre, sur le chantier du nouveau pont du directeur général de l’Agence de gestion des routes (AGEROUTE), Bouaké Fofana, qui a évoqué une campagne de sensibilisation au respect des panneaux de signalisation installés sur le long de l’ouvrage.
"Je demande aux automobilistes de respecter les panneaux de signalisation pour éviter les accidents", a-t-il lancé, invitant également les usagers de la route à éviter les surcharges en vue de prolonger la durée de vie du pont.
L’ouvrage actuel s’inscrit dans un programme à trois volets avec notamment le bitumage de six kilomètres de voirie dans la commune et la réhabilitation prochaine de l’ancien pont.
Le coût des travaux est évalué à environ neuf milliards de FCFA et financé par la Banque ouest-africaine de développement (BOAD) en collaboration avec l’Etat de Côte d’Ivoire, rappelle-t-on.
La construction du pont a été effectuée par la société générale des travaux du Maroc (SGTM) qui a une grande expérience dans le domaine de la construction des ponts et des barrages en Afrique.
La mission de contrôle du pont de Bouaflé est assurée par un groupement de bureaux togolais et marocain AGECET/EWI MAROC.
(AIP)
Zaar/kp
Selon l’ingénieur d’ouvrage d’art, chargé de la mission de contrôle pour la construction du nouveau pont, El hadj Yaya Massahoudou, il est judicieux d’aménager un carrefour pour les automobilistes qui viendront directement de la ville de Bouaflé et ceux qui emprunteront la voie de contournement en provenance de Yamoussoukro.
"Ce carrefour permettra de donner la priorité à certains au détriment des autres pour éviter la collision", a-t-il affirmé.
M. Massahoudou a également expliqué que les automobilistes qui viendront de la ville de Daloa et empruntant la voie de contournement pour Yamoussoukro auront leur couloir. Il en de même pour les conducteurs désirant emprunter la voie qui se dirige vers la ville de Bouaflé.
"Dans tous les cas, les automobilistes qui emprunteront ces deux voies de Daloa et de Bouaflé auront la priorité", a-t-il indiqué, soulignant, en revanche, que les automobilistes provenant de Yamoussoukro, par la voie de contournement, n’ont pas la priorité et sont obligés de marquer un arrêt au carrefour.
Tout en reconnaissant la complexité du carrefour, le chargé de la mission de contrôle a rappelé la visite, en octobre, sur le chantier du nouveau pont du directeur général de l’Agence de gestion des routes (AGEROUTE), Bouaké Fofana, qui a évoqué une campagne de sensibilisation au respect des panneaux de signalisation installés sur le long de l’ouvrage.
"Je demande aux automobilistes de respecter les panneaux de signalisation pour éviter les accidents", a-t-il lancé, invitant également les usagers de la route à éviter les surcharges en vue de prolonger la durée de vie du pont.
L’ouvrage actuel s’inscrit dans un programme à trois volets avec notamment le bitumage de six kilomètres de voirie dans la commune et la réhabilitation prochaine de l’ancien pont.
Le coût des travaux est évalué à environ neuf milliards de FCFA et financé par la Banque ouest-africaine de développement (BOAD) en collaboration avec l’Etat de Côte d’Ivoire, rappelle-t-on.
La construction du pont a été effectuée par la société générale des travaux du Maroc (SGTM) qui a une grande expérience dans le domaine de la construction des ponts et des barrages en Afrique.
La mission de contrôle du pont de Bouaflé est assurée par un groupement de bureaux togolais et marocain AGECET/EWI MAROC.
(AIP)
Zaar/kp