Bouaflé, Après près de deux années de travaux, le nouveau pont de Bouaflé (Centre-ouest, région de la Marahoué) est achevé et sera livré lors d’une visite de travail du président de la République, Alassane Ouattara, en vue de l’inauguration de cet ouvrage construit au service de la population.
A l’occasion d’une visite du chantier, l’ingénieur chargé de la mission de contrôle pour la construction de l’ouvrage, El Hadj Yaya Massahoudou, a expliqué au journaliste de l’AIP le processus de réalisation du pont, de la fondation jusqu’à la pose de la chaussée et des trottoirs.
Le nouveau pont de Bouaflé, à deux voies et long de 124 m, est construit en poutres en béton précontraints, à 12 m de l’ancien pont. Il comprend quatre travées de 31 m chacune et cinq appuis, trois intermédiaires et deux extrêmes, appelés culées.
Selon M. Massahoudou, le pont a une largeur totale de 10 m dont 7,5 m de chaussée. Il est construit sur des fondations profondes de pieux et une semelle de liaison reliant l’ensemble des pieux.
L’ingénieur en ouvrage d’art a expliqué qu’à partir de la semelle de liaison, deux fûts d’un mètre de diamètre ont été montés et reliés à leur tour par un voile de 30 cm d’épaisseur. Ces fûts sont couronnés par une poutre appelée chevêtre où se trouvent des brossages sur lesquels sont posés des appareils d’appui.
Au-dessus des appareils d’appui se trouve le tablier qui est composé de poutres précontraintes reliées aux extrémités par des entretoises. Ces poutres supportent une dalle appelée hourdis qui constitue la plate-forme où se trouvent la chaussée et les trottoirs.
Pour M. Massahoudou, il est important de construire des garde-corps, de part et d’autres du pont, constituant des dispositifs de sécurité pour éviter que les automobilistes se retrouvent dans le décor.
Ce pont permettra d’accroitre la fluidité du trafic routier entre Yamoussoukro et Daloa et d’améliorer la circulation des personnes et des biens.
Le lancement des travaux du nouveau pont s’est effectué en septembre 2012 par le président de la République, Alassane Ouattara.
Le coût des travaux est évalué à environ neuf milliards de FCFA, rappelle-t-on.
(AIP)
Zaar/kp
A l’occasion d’une visite du chantier, l’ingénieur chargé de la mission de contrôle pour la construction de l’ouvrage, El Hadj Yaya Massahoudou, a expliqué au journaliste de l’AIP le processus de réalisation du pont, de la fondation jusqu’à la pose de la chaussée et des trottoirs.
Le nouveau pont de Bouaflé, à deux voies et long de 124 m, est construit en poutres en béton précontraints, à 12 m de l’ancien pont. Il comprend quatre travées de 31 m chacune et cinq appuis, trois intermédiaires et deux extrêmes, appelés culées.
Selon M. Massahoudou, le pont a une largeur totale de 10 m dont 7,5 m de chaussée. Il est construit sur des fondations profondes de pieux et une semelle de liaison reliant l’ensemble des pieux.
L’ingénieur en ouvrage d’art a expliqué qu’à partir de la semelle de liaison, deux fûts d’un mètre de diamètre ont été montés et reliés à leur tour par un voile de 30 cm d’épaisseur. Ces fûts sont couronnés par une poutre appelée chevêtre où se trouvent des brossages sur lesquels sont posés des appareils d’appui.
Au-dessus des appareils d’appui se trouve le tablier qui est composé de poutres précontraintes reliées aux extrémités par des entretoises. Ces poutres supportent une dalle appelée hourdis qui constitue la plate-forme où se trouvent la chaussée et les trottoirs.
Pour M. Massahoudou, il est important de construire des garde-corps, de part et d’autres du pont, constituant des dispositifs de sécurité pour éviter que les automobilistes se retrouvent dans le décor.
Ce pont permettra d’accroitre la fluidité du trafic routier entre Yamoussoukro et Daloa et d’améliorer la circulation des personnes et des biens.
Le lancement des travaux du nouveau pont s’est effectué en septembre 2012 par le président de la République, Alassane Ouattara.
Le coût des travaux est évalué à environ neuf milliards de FCFA, rappelle-t-on.
(AIP)
Zaar/kp
