Le procès aux assises de l’ex-première dame ivoirienne Simone Gbagbo et de 81 co-accusés a repris hier, mardi à Abidjan. Six jeunes ont été cités à comparaître. Le premier à avoir été entendu par le président de la cour était un homme de Yopougon accusé d'avoir semé la terreur pendant la crise post-électorale de 2010-2011.
« J’ai un grand frère qui a été tué pendant la crise, je suis moi-même une victime de cette crise ». C’est ainsi que l’accusé Jean Marius Keipo, surnommé « Petit marteau » a débuté son audience. Face au président de la cour d’assises et à l’avocat général, cet homme petit et barbu au crâne rasé ne s’est jamais départi de son calme.
Pourtant, tout au long de la journée, aux yeux des victimes appelées à... suite de l'article sur RFI
« J’ai un grand frère qui a été tué pendant la crise, je suis moi-même une victime de cette crise ». C’est ainsi que l’accusé Jean Marius Keipo, surnommé « Petit marteau » a débuté son audience. Face au président de la cour d’assises et à l’avocat général, cet homme petit et barbu au crâne rasé ne s’est jamais départi de son calme.
Pourtant, tout au long de la journée, aux yeux des victimes appelées à... suite de l'article sur RFI