La troisième édition de la cérémonie de présentation des vœux du Nouvel An du Président de la République, SEM Alassane Ouattara à la presse nationale et internationale, s’est tenue au Palais présidentiel le 12 janvier, dans une ambiance marquée par le récent l’attentat perpétré au siège du journal français Charlie Hebdo, à Paris.
Le président OUATTARA a rassuré les acteurs de la presse en Côte d’Ivoire que « l’accompagnement de l’État à (leur) endroit va se poursuivre » en 2015, pour l’épanouissement du secteur et la préservation de la dignité des journalistes, vu le rôle primordial que jouent les médias dans la défense de la démocratie. Il s’est engagé « à œuvrer sans relâche pour garantir la liberté d’expression et le libre accès de ces concitoyens à l’information ».
Toutefois, le Chef de l’Etat a appelé les journalistes à conserver la noblesse de leur métier et à participer à la reconstruction de la Côte d’Ivoire, à la réconciliation nationale, à l’unité et à la modernisation du pays. Mais également, à se prendre en main, car selon lui, quels que soient les appuis du Gouvernement, « l’avenir de la presse dépend d’elle-même », a-t-il indiqué.
La volonté du Gouvernement de soutenir la presse a déjà fait l’objet de plusieurs initiatives, a rappelé le Chef de l’État. En l’occurrence, l’octroi de plus de 800 millions de FCFA à 25 entreprises de presse toutes catégories confondues au titre de six mois de subvention, l’adoption en 2013 de la loi garantissant l’accès à l’information d’intérêt public et à la mise en place d’une Commission indépendante pour mettre en œuvre cette disposition.
Il y a aussi la modification du décret de l’Agence ivoirienne de presse (AIP) pour renforcer ces performances, l’organisation de plusieurs séminaires de renforcement des capacités des organes de presse par le Fonds de soutien à la presse (FDSP) et la réhabilitation des centres émetteurs de la Radiotélévision ivoirienne (RTI) qui couvrent à présent plus de 96% du territoire national, traduisant ainsi la volonté du Gouvernement de favoriser l’accès de toutes les populations à l’information.
SEM Alassane OUATTARA a dit également avoir pris bonne note des doléances exprimées par l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI) et le Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (GEPCI).
Il s’agit entre autres, de l’inscription des urgences de la presse dans le Plan national de développement (PND) et la mise en œuvre d’une défiscalisation propre à la presse portant essentiellement sur ces outils de travail. Les deux organisations ont annoncé par ailleurs, la signature d’un code de conduite des journalistes durant les élections de 2015.
Le président OUATTARA a rassuré les acteurs de la presse en Côte d’Ivoire que « l’accompagnement de l’État à (leur) endroit va se poursuivre » en 2015, pour l’épanouissement du secteur et la préservation de la dignité des journalistes, vu le rôle primordial que jouent les médias dans la défense de la démocratie. Il s’est engagé « à œuvrer sans relâche pour garantir la liberté d’expression et le libre accès de ces concitoyens à l’information ».
Toutefois, le Chef de l’Etat a appelé les journalistes à conserver la noblesse de leur métier et à participer à la reconstruction de la Côte d’Ivoire, à la réconciliation nationale, à l’unité et à la modernisation du pays. Mais également, à se prendre en main, car selon lui, quels que soient les appuis du Gouvernement, « l’avenir de la presse dépend d’elle-même », a-t-il indiqué.
La volonté du Gouvernement de soutenir la presse a déjà fait l’objet de plusieurs initiatives, a rappelé le Chef de l’État. En l’occurrence, l’octroi de plus de 800 millions de FCFA à 25 entreprises de presse toutes catégories confondues au titre de six mois de subvention, l’adoption en 2013 de la loi garantissant l’accès à l’information d’intérêt public et à la mise en place d’une Commission indépendante pour mettre en œuvre cette disposition.
Il y a aussi la modification du décret de l’Agence ivoirienne de presse (AIP) pour renforcer ces performances, l’organisation de plusieurs séminaires de renforcement des capacités des organes de presse par le Fonds de soutien à la presse (FDSP) et la réhabilitation des centres émetteurs de la Radiotélévision ivoirienne (RTI) qui couvrent à présent plus de 96% du territoire national, traduisant ainsi la volonté du Gouvernement de favoriser l’accès de toutes les populations à l’information.
SEM Alassane OUATTARA a dit également avoir pris bonne note des doléances exprimées par l’Union nationale des journalistes de Côte d’Ivoire (UNJCI) et le Groupement des éditeurs de presse de Côte d’Ivoire (GEPCI).
Il s’agit entre autres, de l’inscription des urgences de la presse dans le Plan national de développement (PND) et la mise en œuvre d’une défiscalisation propre à la presse portant essentiellement sur ces outils de travail. Les deux organisations ont annoncé par ailleurs, la signature d’un code de conduite des journalistes durant les élections de 2015.