Plusieurs sujets d'actualité nationale ont été élucidés par le chef de l'Etat lors de la présentation mutuelle de voeux du nouvel an avec les journalistes et les organisations professionnelles des médias. Entre autres sujets, le procès des prévenus de la crise postélectorale, la question des 16 milliards versés à la Commission Dialogue Vérité et Réconciliation (CDVR) et enfin la réintégration des personnes acquittées dans leur service d'antan.
Les échanges du chef de l'Etat ivoirien avec les professionnels des médias au cours de la cérémonie de présentation de voeux du nouvel an ont débouché sur les éclaircis sur certaines situations socio politiques ivoiriennes. D'abord, sur la question de la somme allouée à la CDVR dans le cadre de sa mission, dont certains citoyens demandent des comptes à Charles Konan Banny alors président de ladite institution, le président Ouattara a donné plus de détails. Concernant les 16 milliards, le président Ouattara a indiqué que la « CDVR a travaillé pendant trois (03) ans. Donc 16 milliards, font environ 5 milliards par an » a explicité le président de la République. Quant à la question des 10 milliards qui doivent servir d'indemnisation des victimes, Alassane Ouattara a fait remarquer qu'il « s'agit de 10 milliards qui est un budget minimum annuel. Ce sont 10 milliards qui sont inscrits dans le budget ». Pour le chef de l'Etat ivoirien, reste à présent à mettre en place des structures techniques afin que « débute très vite, l'opération d'indemnisation des victimes ». Quant à la question du procès des personnes impliquées d'une manière ou d'une autre dans la crise postélectorale, le chef suprême des armées a fait savoir qu'on ne peut pas « juger tous les cas le même jour ». Mais de son avis, il est souhaitable de « sortir de tout ce qui attrait à la crise postélectorale » dira-t-il. Précisant qu'il ne saurait « interférer dans la justice ».
Revenant sur l'objet de la rencontre du jour, l'hôte du jour a rappelé le principe fondamental du métier de journaliste qui n'est autre que l'exactitude et l'objectivité de leurs écrits. Des vertus donc selon le président Ouattara garantira « l'avenir de la presse. Les médias doivent continuer de jouer un rôle important dans l'oeuvre de reconstruction de notre pays. Ils doivent davantage contribuer à la reconstruction de notre pays » souhaite-il pour conclure.
Fidès Symphorien
Les échanges du chef de l'Etat ivoirien avec les professionnels des médias au cours de la cérémonie de présentation de voeux du nouvel an ont débouché sur les éclaircis sur certaines situations socio politiques ivoiriennes. D'abord, sur la question de la somme allouée à la CDVR dans le cadre de sa mission, dont certains citoyens demandent des comptes à Charles Konan Banny alors président de ladite institution, le président Ouattara a donné plus de détails. Concernant les 16 milliards, le président Ouattara a indiqué que la « CDVR a travaillé pendant trois (03) ans. Donc 16 milliards, font environ 5 milliards par an » a explicité le président de la République. Quant à la question des 10 milliards qui doivent servir d'indemnisation des victimes, Alassane Ouattara a fait remarquer qu'il « s'agit de 10 milliards qui est un budget minimum annuel. Ce sont 10 milliards qui sont inscrits dans le budget ». Pour le chef de l'Etat ivoirien, reste à présent à mettre en place des structures techniques afin que « débute très vite, l'opération d'indemnisation des victimes ». Quant à la question du procès des personnes impliquées d'une manière ou d'une autre dans la crise postélectorale, le chef suprême des armées a fait savoir qu'on ne peut pas « juger tous les cas le même jour ». Mais de son avis, il est souhaitable de « sortir de tout ce qui attrait à la crise postélectorale » dira-t-il. Précisant qu'il ne saurait « interférer dans la justice ».
Revenant sur l'objet de la rencontre du jour, l'hôte du jour a rappelé le principe fondamental du métier de journaliste qui n'est autre que l'exactitude et l'objectivité de leurs écrits. Des vertus donc selon le président Ouattara garantira « l'avenir de la presse. Les médias doivent continuer de jouer un rôle important dans l'oeuvre de reconstruction de notre pays. Ils doivent davantage contribuer à la reconstruction de notre pays » souhaite-il pour conclure.
Fidès Symphorien