Bouaké - Les cours ont repris au lycée Djibo Sounkalo de Bouaké, après plusieurs jours d’arrêt de travail observés par les enseignants pour protester contre la perturbation des cours par les élèves et le climat d’insécurité qui en a résulté.
Des discussions avec la direction de l’établissement et les responsables locaux de l’école ont abouti à des accords relatifs aux conditions de travail des enseignants et à la sécurité dans l’établissement, a expliqué le secrétaire général de la sous-section du syndicat national des enseignants du second degré de Côte d’Ivoire (SYNESCI) du lycée, M. Yokoli Konan, justifiant la suspension du mot d’ordre de grève qui courrait jusqu’à vendredi.
"Nous allons les sensibiliser davantage pour ne plus que ce genre de comportement se répète", a dit le proviseur de l'établissement, Traoré Nouhoun.
Un conseil intérieur et un comité de vigilance composé des différents responsables des conseils d’enseignements mis en place s’impliqueront dans la mise en œuvre des décisions.
La cellule d’alerte précoce en milieu scolaire qui est déjà intervenue en rencontrant le proviseur et les responsables syndicaux des enseignants, à prévu aussi des échanges avec les élèves et l’ensemble des professeurs, pour aplanir les divergences et consolider les acquis.
Des élèves avaient perturbé les cours à l’aide de coups de sifflet stridents,le 26 novembre. Ils avaient récidivé le 16 décembre, sollicitant un départ en congé de Noël avant la date. Des réunions secrètes de groupes d’élèves se seraient tenues dans l’enceinte de l’établissement durant ces moments troubles. Des élèves, armés de machettes, se seraient pourchassés dans la cour de l’école.
Face à tous ces faits, la sous-section du syndicat national des enseignants du second degré de Côte d’Ivoire avait ordonné un arrêt de travail de 72 heures à compter du 17 décembre. La grève a été reconduite du 5 au 8 janvier.
nbf/ask
Des discussions avec la direction de l’établissement et les responsables locaux de l’école ont abouti à des accords relatifs aux conditions de travail des enseignants et à la sécurité dans l’établissement, a expliqué le secrétaire général de la sous-section du syndicat national des enseignants du second degré de Côte d’Ivoire (SYNESCI) du lycée, M. Yokoli Konan, justifiant la suspension du mot d’ordre de grève qui courrait jusqu’à vendredi.
"Nous allons les sensibiliser davantage pour ne plus que ce genre de comportement se répète", a dit le proviseur de l'établissement, Traoré Nouhoun.
Un conseil intérieur et un comité de vigilance composé des différents responsables des conseils d’enseignements mis en place s’impliqueront dans la mise en œuvre des décisions.
La cellule d’alerte précoce en milieu scolaire qui est déjà intervenue en rencontrant le proviseur et les responsables syndicaux des enseignants, à prévu aussi des échanges avec les élèves et l’ensemble des professeurs, pour aplanir les divergences et consolider les acquis.
Des élèves avaient perturbé les cours à l’aide de coups de sifflet stridents,le 26 novembre. Ils avaient récidivé le 16 décembre, sollicitant un départ en congé de Noël avant la date. Des réunions secrètes de groupes d’élèves se seraient tenues dans l’enceinte de l’établissement durant ces moments troubles. Des élèves, armés de machettes, se seraient pourchassés dans la cour de l’école.
Face à tous ces faits, la sous-section du syndicat national des enseignants du second degré de Côte d’Ivoire avait ordonné un arrêt de travail de 72 heures à compter du 17 décembre. La grève a été reconduite du 5 au 8 janvier.
nbf/ask