Bouaflé – Une délégation du Conseil consultatif de l’Education nationale (CCEN) a effectué une mission, mardi, à Bouaflé (Centre-ouest, région de la Marahoué), pour s’imprégner des difficultés et recueillir les besoins des acteurs du système éducatif de la localité.
Le chef de la délégation, Mamenet Désirée Toungara, a indiqué que les réalisations faites par le ministère de l’Education nationale et de l’Enseignement technique et les projets en cours ont pour objectif de repositionner l’école ivoirienne dans ses fondamentaux.
« Nous sommes conscients qu’il y a encore des réalisations à faire avec notamment des écoles à construire, des établissements scolaires secondaires et primaires à réhabiliter, des salles de classe à doter en tables-bancs et nous faisons en sorte que le maximum soit fait avec le peu de moyen que nous avons», a-t-elle souligné, en réponse aux différentes préoccupations des acteurs du système éducatif de Bouaflé.
Tout en appréciant l’aide des élus locaux qui doivent, selon elle, apporter leur pierre à l’édification de la nouvelle école ivoirienne, Mme Toungara a invité tous les acteurs de l’école à perpétuer la paix qui règne déjà dans les établissements scolaires.
« L’école ne va pas avec le bruit et les interruptions de cours car quand il y a des grèves, ce sont les cours qui ne sont pas dispensés et ne peuvent pas être rattrapés", a-t-elle fait savoir, expliquant que les actes posés dans le milieu de l’Education nationale doivent aboutir à l’achèvement de l’année scolaire, sans perturbation.
Mis en place le 06 mars dernier, le CCEN a pour rôle de rassembler autour de la table tous les acteurs du système éducatif, afin d’examiner leurs préoccupations et de faire des propositions pour la résolution des éventuels problèmes.
zaar/kkp/ask
Le chef de la délégation, Mamenet Désirée Toungara, a indiqué que les réalisations faites par le ministère de l’Education nationale et de l’Enseignement technique et les projets en cours ont pour objectif de repositionner l’école ivoirienne dans ses fondamentaux.
« Nous sommes conscients qu’il y a encore des réalisations à faire avec notamment des écoles à construire, des établissements scolaires secondaires et primaires à réhabiliter, des salles de classe à doter en tables-bancs et nous faisons en sorte que le maximum soit fait avec le peu de moyen que nous avons», a-t-elle souligné, en réponse aux différentes préoccupations des acteurs du système éducatif de Bouaflé.
Tout en appréciant l’aide des élus locaux qui doivent, selon elle, apporter leur pierre à l’édification de la nouvelle école ivoirienne, Mme Toungara a invité tous les acteurs de l’école à perpétuer la paix qui règne déjà dans les établissements scolaires.
« L’école ne va pas avec le bruit et les interruptions de cours car quand il y a des grèves, ce sont les cours qui ne sont pas dispensés et ne peuvent pas être rattrapés", a-t-elle fait savoir, expliquant que les actes posés dans le milieu de l’Education nationale doivent aboutir à l’achèvement de l’année scolaire, sans perturbation.
Mis en place le 06 mars dernier, le CCEN a pour rôle de rassembler autour de la table tous les acteurs du système éducatif, afin d’examiner leurs préoccupations et de faire des propositions pour la résolution des éventuels problèmes.
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