Bouaké - Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Gnamien Konan, se prononçant sur la récente grève des enseignants du supérieur, a promis d’œuvrer à la levée définitive du mot d’ordre suspendu, pour l’heure, jusqu’au 10 février.
"On aurait pu en faire l’économie. On n’a jamais dit qu’on n’était pas prêt à discuter des problèmes des enseignants", a-t-il déclaré vendredi, à Bouaké, déplorant le rejet de ses propositions par les responsables syndicaux des enseignants lors des premières discussions.
Les enseignants du supérieur avaient déclenché, le 5 janvier, une grève illimitée pour revendiquer une amélioration de leurs conditions salariales.
M. Gnamien Konan affirme avoir promis, le 2 janvier, aux responsables syndicaux qu’il mettrait tout en œuvre pour leur permettre de rencontrer le Premier ministre, ministre de l’Economie, des Finances et du Budget, dans un délai de 48 heures.
Il dit avoir aussi proposé la mise en place d’une commission bipartite, composée des membres de la CENEC et de son cabinet, pour travailler sur les revendications afin de préparer les arguments pour les soutenir.
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique salue la décision du syndicat de suspendre le mot d’ordre pour revenir à la table de négociation en acceptant une rencontre avec le Premier ministre prévue pour le 6 février prochain.
"C’est l’école qui va nous sauver", a-t-il affirmé, invitant tous les acteurs à un consensus autour de l’école.
En décidant de débloquer les salaires bloqués depuis 1990 sans grève, cela veut dire que le gouvernement, en fonction de ses moyens, est disposé à regarder les salaires des fonctionnaires, a relevé M. Gnamien Konan.
Nbf/kp
"On aurait pu en faire l’économie. On n’a jamais dit qu’on n’était pas prêt à discuter des problèmes des enseignants", a-t-il déclaré vendredi, à Bouaké, déplorant le rejet de ses propositions par les responsables syndicaux des enseignants lors des premières discussions.
Les enseignants du supérieur avaient déclenché, le 5 janvier, une grève illimitée pour revendiquer une amélioration de leurs conditions salariales.
M. Gnamien Konan affirme avoir promis, le 2 janvier, aux responsables syndicaux qu’il mettrait tout en œuvre pour leur permettre de rencontrer le Premier ministre, ministre de l’Economie, des Finances et du Budget, dans un délai de 48 heures.
Il dit avoir aussi proposé la mise en place d’une commission bipartite, composée des membres de la CENEC et de son cabinet, pour travailler sur les revendications afin de préparer les arguments pour les soutenir.
Le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique salue la décision du syndicat de suspendre le mot d’ordre pour revenir à la table de négociation en acceptant une rencontre avec le Premier ministre prévue pour le 6 février prochain.
"C’est l’école qui va nous sauver", a-t-il affirmé, invitant tous les acteurs à un consensus autour de l’école.
En décidant de débloquer les salaires bloqués depuis 1990 sans grève, cela veut dire que le gouvernement, en fonction de ses moyens, est disposé à regarder les salaires des fonctionnaires, a relevé M. Gnamien Konan.
Nbf/kp