Adzopé - Le ministère de l’Agriculture, en partenariat avec le cabinet Electronic management et l’Apromac, a rencontré, vendredi à Adzopé, le corps préfectoral, les responsables des sociétés coopératives, les planteurs et les comités villageois de la Mé, en vue de les informer et de les sensibiliser sur le bien-fondé du projet "un planteur d’hévéa, un certificat foncier" et sur le foncier rural.
Selon le responsable du Suivi de la délivrance des titres de propriété au ministère de l’Agriculture, Idrissa Seynou, cette campagne d’information et de sensibilisation vise à sécuriser les investissements dans le domaine du foncier rural et clarifier les droits fonciers ruraux.
Il a précisé que le foncier rural coutumier est constitué des terres sur lesquelles s’exercent des droits coutumiers, conformément aux traditions.
Le responsable du cabinet Electronic management et de l’Apromac, Ali Kéita, a expliqué les conditions générales d’acquisition du certificat foncier.
"Je demande aux populations, surtout les détenteurs des droits individuels et collectifs, d’identifier leurs terres, afin d’éviter d’être dépossédés", a-t-il conseillé.
La directrice régionale de l’Agriculture de la Mé, Mme Adom Kama Diallo, a annoncé que plus de 100 demandes de certificat foncier ont été enregistrées dans son service, invitant les autres à en faire autant pour sécuriser leurs terres.
Le préfet d’Adzopé, Sanogo Al Hassana, a demandé à ses administrés d’arrêter de travailler dans l’informel et les a invités à établir leur certificat foncier afin d’éviter que les terres soient déclarées vacantes.
(AIP)
go/aaa/kp
Selon le responsable du Suivi de la délivrance des titres de propriété au ministère de l’Agriculture, Idrissa Seynou, cette campagne d’information et de sensibilisation vise à sécuriser les investissements dans le domaine du foncier rural et clarifier les droits fonciers ruraux.
Il a précisé que le foncier rural coutumier est constitué des terres sur lesquelles s’exercent des droits coutumiers, conformément aux traditions.
Le responsable du cabinet Electronic management et de l’Apromac, Ali Kéita, a expliqué les conditions générales d’acquisition du certificat foncier.
"Je demande aux populations, surtout les détenteurs des droits individuels et collectifs, d’identifier leurs terres, afin d’éviter d’être dépossédés", a-t-il conseillé.
La directrice régionale de l’Agriculture de la Mé, Mme Adom Kama Diallo, a annoncé que plus de 100 demandes de certificat foncier ont été enregistrées dans son service, invitant les autres à en faire autant pour sécuriser leurs terres.
Le préfet d’Adzopé, Sanogo Al Hassana, a demandé à ses administrés d’arrêter de travailler dans l’informel et les a invités à établir leur certificat foncier afin d’éviter que les terres soient déclarées vacantes.
(AIP)
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