L'ex-première dame de la Côte d' Ivoire Simone Gbagbo comparaîtra lundi prochain devant la justice,a indiqué mardi aux médias son avocate Habiba Touré.
Le procès de l'ex-Première dame ivoirienne Simone Gbagbo reprend après qu'elle fut convoquée une première fois devant la justice en décembre dernier.
Mme Gbagbo a été arrêtée en même temps que son époux en avril 2011. Elle est inculpée avec plus de 80 autres pro-Gbagbo par la justice ivoirienne pour "atteinte à la sûreté de l'Etat", une accusation liée à la crise postélectorale meurtrière de 2010-2011.
L'épouse de l'ex-président Laurent Gbagbo sera présente au tribunal d'Abidjan avec d'autres prévenus.
La Cour pénale internationale (CPI) avait un mandat d'arrêt contre elle,pour crimes contre l'humanité commis lors des violences post-électorales et demandé à la Côte d'Ivoire de la transférer à La Haye.
Mais les autorités ivoiriennes n'ont pas accédé à la demande d' extradition de l'institution judiciaire internationale malgré son insistance, estimant que la Côte d'Ivoire est apte à juger Mme Gbagbo.
De l'avis du ministre de la Justice Gnénéma Coulibaly,la justice ivoirienne a les capacités de mener un procès correct.
"L'appareil judiciaire ivoirien est en état de fonctionnement parfait", a-t-il insisté.
Le procès de l'ex-Première dame ivoirienne Simone Gbagbo reprend après qu'elle fut convoquée une première fois devant la justice en décembre dernier.
Mme Gbagbo a été arrêtée en même temps que son époux en avril 2011. Elle est inculpée avec plus de 80 autres pro-Gbagbo par la justice ivoirienne pour "atteinte à la sûreté de l'Etat", une accusation liée à la crise postélectorale meurtrière de 2010-2011.
L'épouse de l'ex-président Laurent Gbagbo sera présente au tribunal d'Abidjan avec d'autres prévenus.
La Cour pénale internationale (CPI) avait un mandat d'arrêt contre elle,pour crimes contre l'humanité commis lors des violences post-électorales et demandé à la Côte d'Ivoire de la transférer à La Haye.
Mais les autorités ivoiriennes n'ont pas accédé à la demande d' extradition de l'institution judiciaire internationale malgré son insistance, estimant que la Côte d'Ivoire est apte à juger Mme Gbagbo.
De l'avis du ministre de la Justice Gnénéma Coulibaly,la justice ivoirienne a les capacités de mener un procès correct.
"L'appareil judiciaire ivoirien est en état de fonctionnement parfait", a-t-il insisté.