Korhogo – Le Conseiller en communication du président de la République, Amadou Coulibaly, a proposé au corps enseignants la voie de la négociation et de la discussion pour poser leurs préoccupations.
"Il faut qu’on sorte d’une Côte d’Ivoire de la confrontation, de la revendication violente, pour rentrer dans une Côte d’Ivoire de la discussion et de la négociation. Le gouvernement, aujourd’hui, a montré que, dans la discussion et en toute responsabilité, tous les problèmes peuvent être traités", a répondu M. Amadou Coulibaly aux propos du président Boly Koi Théodore relatives à certaines indemnités, lors de la clôture, vendredi à Korhogo, du 5ème séminaire annuel de l’Association des chefs d’établissement et adjoints du secondaire de la Côte d’Ivoire (ACEASCI).
Ces doléances portent notamment sur l’augmentation des indemnités de logement des chefs d’établissement qui, selon le président de l’ACEASCI sont pratiquement les mêmes que celles d’un instituteur titulaire du BEPC.
Le parrain a indiqué que "l’Etat ivoirien est un Etat responsable qui n’a pas intérêt à brimer ses citoyens, mais, au contraire, l’Etat de Côte d’Ivoire est là pour servir le citoyen" tout en rassurant ses filleuls que "l’Etat fera ce qu’il faut" pour leur bien-être social et professionnel.
Le séminaire dont le thème est "Emergence de la Côte d’Ivoire à l’horizon 2020 : contribution de l’école ivoirienne et rôle des chefs d’établissement" qui s’est déroulé jeudi et vendredi a été l’occasion pour le parrain de reppeler les actions du gouvernement pour que "l’école ivoirienne ouvre la voie de l’émergence."
Ces actions, selon le conseiller en communication du président de la République, concernent le retour de l’uniforme, l’interdiction de toute activité syndicale à l’école, la meilleure rationalisation de gestion des ressources humaines et l’introduction des technologies de l’information et de la communication dans le système éducatif.
Au niveau des infrastructures, environ 3.500 classes ont été construites au niveau du primaire en quatre ans d’exercice. La réhabilitation de 22 lycées, huit collègues, trois centres d’animation et de formation pédagogique (CAFOP), ainsi que des salles de professeurs, pour un coût total de 24 milliards de FCFA, a-t-il ajouté.
M. Amadou Coulibaly a souligné également qu’au total, ce sont 15.313 classes que le président Ouattara a construit en quatre ans, pour un montant global de 250 milliards bien que les besoins restent encore énormes.
A cela, s’ajoute le taux de fréquentation de l’école et de recrutement d’enseignants qui s’est aussi accru durant le mandat du président Alassane Ouattara tient, selon lui, ses promesses.
(AIP)
Apk/kp
"Il faut qu’on sorte d’une Côte d’Ivoire de la confrontation, de la revendication violente, pour rentrer dans une Côte d’Ivoire de la discussion et de la négociation. Le gouvernement, aujourd’hui, a montré que, dans la discussion et en toute responsabilité, tous les problèmes peuvent être traités", a répondu M. Amadou Coulibaly aux propos du président Boly Koi Théodore relatives à certaines indemnités, lors de la clôture, vendredi à Korhogo, du 5ème séminaire annuel de l’Association des chefs d’établissement et adjoints du secondaire de la Côte d’Ivoire (ACEASCI).
Ces doléances portent notamment sur l’augmentation des indemnités de logement des chefs d’établissement qui, selon le président de l’ACEASCI sont pratiquement les mêmes que celles d’un instituteur titulaire du BEPC.
Le parrain a indiqué que "l’Etat ivoirien est un Etat responsable qui n’a pas intérêt à brimer ses citoyens, mais, au contraire, l’Etat de Côte d’Ivoire est là pour servir le citoyen" tout en rassurant ses filleuls que "l’Etat fera ce qu’il faut" pour leur bien-être social et professionnel.
Le séminaire dont le thème est "Emergence de la Côte d’Ivoire à l’horizon 2020 : contribution de l’école ivoirienne et rôle des chefs d’établissement" qui s’est déroulé jeudi et vendredi a été l’occasion pour le parrain de reppeler les actions du gouvernement pour que "l’école ivoirienne ouvre la voie de l’émergence."
Ces actions, selon le conseiller en communication du président de la République, concernent le retour de l’uniforme, l’interdiction de toute activité syndicale à l’école, la meilleure rationalisation de gestion des ressources humaines et l’introduction des technologies de l’information et de la communication dans le système éducatif.
Au niveau des infrastructures, environ 3.500 classes ont été construites au niveau du primaire en quatre ans d’exercice. La réhabilitation de 22 lycées, huit collègues, trois centres d’animation et de formation pédagogique (CAFOP), ainsi que des salles de professeurs, pour un coût total de 24 milliards de FCFA, a-t-il ajouté.
M. Amadou Coulibaly a souligné également qu’au total, ce sont 15.313 classes que le président Ouattara a construit en quatre ans, pour un montant global de 250 milliards bien que les besoins restent encore énormes.
A cela, s’ajoute le taux de fréquentation de l’école et de recrutement d’enseignants qui s’est aussi accru durant le mandat du président Alassane Ouattara tient, selon lui, ses promesses.
(AIP)
Apk/kp