Des victimes de la crise postélectorale ont, bruyamment, manifesté, lundi, à l’arrivée de Mme Simone Gbagbo au palais de justice où elle comparaît pour des faits d’atteinte à la sureté de l’Etat.
Vêtue d’une longue robe fleurie vert-marron, les cheveux, soigneusement, nattées, Simone Gbagbo est arrivée, détendue et souriante, à 9h 25 (GMT) au Palais de justice, hautement surveillé par les forces de l’ordre (policiers et gendarmes).
Dans le hall, quelques victimes conduites par Issiaka Diaby, président du collectif des victimes de Côte d’Ivoire, tentent, vainement, de forcer le cordon sécuritaire pour accéder à la prévenue.
L’épouse de l’ex-Chef d’Etat ivoirien ainsi que 82 autres personnalités de l’ancien régime sont poursuivies pour atteinte à la sûreté de l’Etat, rébellion, xénophobie, tribalisme et constitution de bandes armées, pendant la crise post-électorale qui a fait 3000 victimes de décembre 2010 à avril 2011
HS/ls/APA
Vêtue d’une longue robe fleurie vert-marron, les cheveux, soigneusement, nattées, Simone Gbagbo est arrivée, détendue et souriante, à 9h 25 (GMT) au Palais de justice, hautement surveillé par les forces de l’ordre (policiers et gendarmes).
Dans le hall, quelques victimes conduites par Issiaka Diaby, président du collectif des victimes de Côte d’Ivoire, tentent, vainement, de forcer le cordon sécuritaire pour accéder à la prévenue.
L’épouse de l’ex-Chef d’Etat ivoirien ainsi que 82 autres personnalités de l’ancien régime sont poursuivies pour atteinte à la sûreté de l’Etat, rébellion, xénophobie, tribalisme et constitution de bandes armées, pendant la crise post-électorale qui a fait 3000 victimes de décembre 2010 à avril 2011
HS/ls/APA