Abidjan, 27 fév (AIP) – L’université internationale de Grand-Bassam (IUGB) doit être un "modèle" en matière d’employabilité des étudiants, a déclaré vendredi, le ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, Gnamien Konan.
"Je souhaite que l’université internationale de Grand-Bassam soit un modèle de l’établissement voué à l’employabilité, un modèle dont la Côte d’Ivoire tirera profit", a déclaré Gnamien Konan à la faveur d’une visite de cet établissement d’excellence, où l’enseignement calqué sur le modèle nord-américain.
Jugeant le coût de la scolarité annuelle de plus de cinq millions de FCFA prohibitif pour la majorité des foyers ivoiriens, le ministre de l'Enseignement supérieur a souhaité que les établissements bancaires s’impliquent dans le financement de l’enseignement supérieur à travers des prêts remboursables par l’étudiant lorsqu’il commence à travailler.
"La qualité de la formation a un coût. Quelle solution nous faut-il trouver pour financer la formation supérieure ? La solution consiste à convaincre nos banques de la financer", a-t-il insisté.
M. Konan a salué l’exemple de cette université qui enseigne exclusivement en Anglais, langue dans laquelle s’exprime la moitié de la population mondiale, tandis que 80% des ressources disponibles sur internet sont en Anglais, une langue dont la pratique ouvre à l’emploi.
Créée en 2005 avec une vocation sous-régionale, l’université internationale de Grand-Bassam compte cette année académique 398 étudiants de 16 nationalités. Elle livrera cette année la première vague d’étudiants ayant achevé leur "Bachelor" (Bac + 4) en Côte d’Ivoire.
Auparavant, ils allaient parachever, après deux ans, leur formation dans une université partenaire américaine ou européenne.
Cette université a pour mission de promouvoir l’excellence en formant des leaders hautement qualifiés dans des filières professionnelles répondant aux besoins de la société et des entreprises.
Elle a créé en octobre dernier une Fondation à Atlanta (Géorgie, Etats-Unis) pour la promotion de ses enseignements et mobiliser des fonds pour financer les bacheliers les plus brillants mais dont la modestie des ressources des parents constitue un obstacle à leur entrée dans cette établissement.
"Très rigoureux dans la sélection des étudiants, ses dirigeants sont particulièrement exigeants sur les critères de recrutement des enseignants, a indiqué son président", le Pr Saliou Touré.
"Il s’agit pour nous de former des jeunes capables d’anticiper et de permettre à l’Afrique d’être présente dans tous les domaines sur la scène internationale", a-t-il affirmé.
(AIP)
aaa/tm
"Je souhaite que l’université internationale de Grand-Bassam soit un modèle de l’établissement voué à l’employabilité, un modèle dont la Côte d’Ivoire tirera profit", a déclaré Gnamien Konan à la faveur d’une visite de cet établissement d’excellence, où l’enseignement calqué sur le modèle nord-américain.
Jugeant le coût de la scolarité annuelle de plus de cinq millions de FCFA prohibitif pour la majorité des foyers ivoiriens, le ministre de l'Enseignement supérieur a souhaité que les établissements bancaires s’impliquent dans le financement de l’enseignement supérieur à travers des prêts remboursables par l’étudiant lorsqu’il commence à travailler.
"La qualité de la formation a un coût. Quelle solution nous faut-il trouver pour financer la formation supérieure ? La solution consiste à convaincre nos banques de la financer", a-t-il insisté.
M. Konan a salué l’exemple de cette université qui enseigne exclusivement en Anglais, langue dans laquelle s’exprime la moitié de la population mondiale, tandis que 80% des ressources disponibles sur internet sont en Anglais, une langue dont la pratique ouvre à l’emploi.
Créée en 2005 avec une vocation sous-régionale, l’université internationale de Grand-Bassam compte cette année académique 398 étudiants de 16 nationalités. Elle livrera cette année la première vague d’étudiants ayant achevé leur "Bachelor" (Bac + 4) en Côte d’Ivoire.
Auparavant, ils allaient parachever, après deux ans, leur formation dans une université partenaire américaine ou européenne.
Cette université a pour mission de promouvoir l’excellence en formant des leaders hautement qualifiés dans des filières professionnelles répondant aux besoins de la société et des entreprises.
Elle a créé en octobre dernier une Fondation à Atlanta (Géorgie, Etats-Unis) pour la promotion de ses enseignements et mobiliser des fonds pour financer les bacheliers les plus brillants mais dont la modestie des ressources des parents constitue un obstacle à leur entrée dans cette établissement.
"Très rigoureux dans la sélection des étudiants, ses dirigeants sont particulièrement exigeants sur les critères de recrutement des enseignants, a indiqué son président", le Pr Saliou Touré.
"Il s’agit pour nous de former des jeunes capables d’anticiper et de permettre à l’Afrique d’être présente dans tous les domaines sur la scène internationale", a-t-il affirmé.
(AIP)
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