Le parquet général a requis, mardi, dix ans de prison contre Mme Simone Gbagbo et vingt-quatre mois contre Affi N’guessan, accusés respectivement, de "constitution de bandes armées" et ‘’d’appel à la haine et troubles à l’ordre public’’, durant la crise post électorale de décembre 2010 à novembre 2011, ayant fait 3000 victimes en Côte d’Ivoire..
L'ex-première dame ivoirienne est restée ‘'indifférente'' à l'énoncé des réquisitions du parquet général qui a, également, requis des peines de prison pour plusieurs personnalités dont les généraux Dogbo Blé et Vagba Faussignaux qui écopent, chacun de vingt ans de prison.
Contre le président du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N'guessan et la présidente des femmes patriotes (mouvement de soutien à Laurent Gbagbo), Géneviève Bro Grébé, le ministère public a retenu que pour leur ‘'obstination à maintenir Laurent Gbagbo au pouvoir, ont organisé des conférences publiques pour appeler à la haine et aux troubles de l'ordre public''.
Marquant, ainsi, selon le parquet général, ''leur refus de voir Alassane Ouattara à la présidence de la République. A cet égard, il convient dès lors de les déclarer coupables et de les maintenir dans les liens de la prévention'', en requérant vingt-quatre mois de prison pour M. Affi et Mme Bro Grébé.
Quant à l'ex-ministre Danièle Boni Claverie, cinq mois de prison ont été requis contre elle.
HS/of/APA
L'ex-première dame ivoirienne est restée ‘'indifférente'' à l'énoncé des réquisitions du parquet général qui a, également, requis des peines de prison pour plusieurs personnalités dont les généraux Dogbo Blé et Vagba Faussignaux qui écopent, chacun de vingt ans de prison.
Contre le président du Front populaire ivoirien (FPI), Pascal Affi N'guessan et la présidente des femmes patriotes (mouvement de soutien à Laurent Gbagbo), Géneviève Bro Grébé, le ministère public a retenu que pour leur ‘'obstination à maintenir Laurent Gbagbo au pouvoir, ont organisé des conférences publiques pour appeler à la haine et aux troubles de l'ordre public''.
Marquant, ainsi, selon le parquet général, ''leur refus de voir Alassane Ouattara à la présidence de la République. A cet égard, il convient dès lors de les déclarer coupables et de les maintenir dans les liens de la prévention'', en requérant vingt-quatre mois de prison pour M. Affi et Mme Bro Grébé.
Quant à l'ex-ministre Danièle Boni Claverie, cinq mois de prison ont été requis contre elle.
HS/of/APA