Les avocats des accusés pro-Gbagbo n'ont pas varié dans leur ligne de défense lors de la deuxième journée des plaidoiries devant la Cour d'assises.
Hier, comme la veille, ils ont continué de démontrer que les cadres pro-Gbagbo, parmi les 83 prévenus, ont agi dans un cadre légal et légitime, et qu'il ne peut leur être attribué les délits de ''coalition de fonctionnaires'' et de ''trouble à l'ordre public''. Ils ont aussi tenté de démontrer que les 83 dossiers d'instruction sont vides de faits matériels pouvant permettre de juger leurs clients.
La Défense a chargé le Parquet général, qu'elle accuse de faire du «copier-coller», en attribuant à tout hasard des délits à des individus, au point où des non-fonctionnaires se retrouvent accusés de délit de ''coalition... suite de l'article sur
Hier, comme la veille, ils ont continué de démontrer que les cadres pro-Gbagbo, parmi les 83 prévenus, ont agi dans un cadre légal et légitime, et qu'il ne peut leur être attribué les délits de ''coalition de fonctionnaires'' et de ''trouble à l'ordre public''. Ils ont aussi tenté de démontrer que les 83 dossiers d'instruction sont vides de faits matériels pouvant permettre de juger leurs clients.
La Défense a chargé le Parquet général, qu'elle accuse de faire du «copier-coller», en attribuant à tout hasard des délits à des individus, au point où des non-fonctionnaires se retrouvent accusés de délit de ''coalition... suite de l'article sur