Une réunion sur la sécurité dans les régions frontalières entre la Côte d’Ivoire et le Liberia s’est ouverte mardi à Abidjan avec pour objectif de renforcer la coopération et d’accompagner le développement des régions frontalières entre les deux pays.
"Le mécanisme de coopération qui nous réunit renforce la coopération entre la Côte d’Ivoire et le Liberia, c’est un indicateur de sécurité durable et de prospérité pour ces deux pays et la région", a déclaré la représentante du secrétaire général de l’Onu pour la Côte d’Ivoire, Aïchatou Mindaoudou.
La rencontre, la troisième du genre, réunit des représentants des gouvernements ivoirien et libérien et des forces onusiennes présentes dans les deux pays.
Aïchatou Mindaoudou a insisté sur la nécessité d’"accélérer et de rendre encore plus efficace la coordination des échanges entre Etats partenaires" pour résoudre les questions de sécurité dans les régions frontalières.
Elle a encouragé les efforts pour "opérationnaliser" la structure de coopération dans les domaines de la conduite d’opérations sécuritaires synchronisées de part et d’autre du fleuve Cavally.
Dimanche, le président ivoirien, Alassane Ouattara, a dit vouloir demander un "droit de poursuite" aux autorités libériennes pour juguler les attaques meurtrières en territoire ivoirien perpétrées par des individus armés non identifiés qui passent la frontière.
Des opérations militaires terrestres coordonnées par les armées des deux pays avec l’appui de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci) et la Mission des nations unies au Liberia (Minul) ont permis de renforcer la sécurité frontalière.
"Toute avancée pour opérationnaliser cette stratégie renforcera nos ré alisations communes en accompagnement des efforts des autorités dans la sé curisation des régions frontalières entre la Côte d’Ivoire et le Liberia", a indiqué la patronne de l’Onuci.
Le ministre ivoirien des Affaires étrangères, Charles Diby Koffi, a pour sa part, annoncé "la réactivation de la grande commission mixte de coopération" entre la Côte d’Ivoire et le Liberia.
C’est un "cadre de concertation et d’échanges" pour trouver des "solutions idoines" aux problèmes communs que rencontrent les deux Etats, a-t-il souligné.
A en croire Charles Diby Koffi, la reprise de la coopération bilatérale augure des "perspectives heureuses" en termes de mise en oeuvre de projets structurants en matière d’interconnexion hydroélectrique ou routière, d’activités génératrices de revenus ou de projets à impact rapide pour les populations locales.
Il a souhaité que la réunion fasse des recommandations sur la tenue à Abidjan d’une réunion du Conseil conjoint des chefs coutumiers et des anciens des communautés transfrontalières, le retour des réfugiés et le renforcement des actions conjointes de sécurisation à la frontière.
"Le mécanisme de coopération qui nous réunit renforce la coopération entre la Côte d’Ivoire et le Liberia, c’est un indicateur de sécurité durable et de prospérité pour ces deux pays et la région", a déclaré la représentante du secrétaire général de l’Onu pour la Côte d’Ivoire, Aïchatou Mindaoudou.
La rencontre, la troisième du genre, réunit des représentants des gouvernements ivoirien et libérien et des forces onusiennes présentes dans les deux pays.
Aïchatou Mindaoudou a insisté sur la nécessité d’"accélérer et de rendre encore plus efficace la coordination des échanges entre Etats partenaires" pour résoudre les questions de sécurité dans les régions frontalières.
Elle a encouragé les efforts pour "opérationnaliser" la structure de coopération dans les domaines de la conduite d’opérations sécuritaires synchronisées de part et d’autre du fleuve Cavally.
Dimanche, le président ivoirien, Alassane Ouattara, a dit vouloir demander un "droit de poursuite" aux autorités libériennes pour juguler les attaques meurtrières en territoire ivoirien perpétrées par des individus armés non identifiés qui passent la frontière.
Des opérations militaires terrestres coordonnées par les armées des deux pays avec l’appui de l’Opération des Nations unies en Côte d’Ivoire (Onuci) et la Mission des nations unies au Liberia (Minul) ont permis de renforcer la sécurité frontalière.
"Toute avancée pour opérationnaliser cette stratégie renforcera nos ré alisations communes en accompagnement des efforts des autorités dans la sé curisation des régions frontalières entre la Côte d’Ivoire et le Liberia", a indiqué la patronne de l’Onuci.
Le ministre ivoirien des Affaires étrangères, Charles Diby Koffi, a pour sa part, annoncé "la réactivation de la grande commission mixte de coopération" entre la Côte d’Ivoire et le Liberia.
C’est un "cadre de concertation et d’échanges" pour trouver des "solutions idoines" aux problèmes communs que rencontrent les deux Etats, a-t-il souligné.
A en croire Charles Diby Koffi, la reprise de la coopération bilatérale augure des "perspectives heureuses" en termes de mise en oeuvre de projets structurants en matière d’interconnexion hydroélectrique ou routière, d’activités génératrices de revenus ou de projets à impact rapide pour les populations locales.
Il a souhaité que la réunion fasse des recommandations sur la tenue à Abidjan d’une réunion du Conseil conjoint des chefs coutumiers et des anciens des communautés transfrontalières, le retour des réfugiés et le renforcement des actions conjointes de sécurisation à la frontière.