Ferkessédougou - Les professeurs du Lycée moderne de Ferkessédougou ont arrêté les cours jeudi pour 48 heures, à la suite d’un mot d'ordre de grève lancé par le Syndicat national des enseignants du secondaire de Côte d’Ivoire (SYNESCI).
"Il y a un arrêt de travail de 48 heures au Lycée moderne de Ferkessédougou qui commence ce jeudi matin et qui prend fin vendredi après les cours. La grève est largement suivie", a indiqué à l'AIP, M. Doumbia Mamadou, secrétaire général de la sous section du SYNESCI dans cet établissement.
Les élèves de leur côté affirment ne rien comprendre de tout ce qui se passe. "Nous étions en classe ce matin au cours de sciences physiques quand nous avons vu notre prof sortir brusquement sans rien nous dire alors que nous n'étions pas à la fin de l'heure" ont déclaré, surpris, des élèves du lycée.
Les élèves qui entendent s'informer de la situation confuse qui prévaut depuis ce jeudi matin dans leur établissement, se heurtent toutefois au mutisme de leurs enseignants.
La CESCI, un autre syndicat d’enseignants, de son côté appelle ses syndiqués à retenir les moyennes du deuxième trimestre et de s'abstenir de toute opération de fin de trimestre en attendant un arrêt de travail de 48 heures qui sera observé à partir du 18 mars.
Les enseignants revendiquent, entre autres, les effets du reclassement exceptionnel des enseignants et les arriérés de 2009.
(AIP)
ti/kkf/cmas
"Il y a un arrêt de travail de 48 heures au Lycée moderne de Ferkessédougou qui commence ce jeudi matin et qui prend fin vendredi après les cours. La grève est largement suivie", a indiqué à l'AIP, M. Doumbia Mamadou, secrétaire général de la sous section du SYNESCI dans cet établissement.
Les élèves de leur côté affirment ne rien comprendre de tout ce qui se passe. "Nous étions en classe ce matin au cours de sciences physiques quand nous avons vu notre prof sortir brusquement sans rien nous dire alors que nous n'étions pas à la fin de l'heure" ont déclaré, surpris, des élèves du lycée.
Les élèves qui entendent s'informer de la situation confuse qui prévaut depuis ce jeudi matin dans leur établissement, se heurtent toutefois au mutisme de leurs enseignants.
La CESCI, un autre syndicat d’enseignants, de son côté appelle ses syndiqués à retenir les moyennes du deuxième trimestre et de s'abstenir de toute opération de fin de trimestre en attendant un arrêt de travail de 48 heures qui sera observé à partir du 18 mars.
Les enseignants revendiquent, entre autres, les effets du reclassement exceptionnel des enseignants et les arriérés de 2009.
(AIP)
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