San Pedro – Le décès d’un élève, Marc Yaméogo, du lycée municipal 2 de San Pedro, jeudi, dans un accident de la circulation n’avait pas de lien direct avec la grève des enseignants des lycées et collèges publics, ont précisé différentes sources de l’éducation nationale, policières, et syndicales, contactées par l’AIP.
«Je précise qu’il n’y a pas eu deux morts. C’est un seul élève de la classe de 5ème 2 qui est mort, et ce n’est vraiment pas lié à la grève des enseignants », a déclaré le censeur du lycée municipal 2 de San Pedro, Doumbia Souleymane.
La victime de l’accident, l’élève, Yaméogo Marc, était un bon élève qui a eu au premier trimestre plus de 13 de moyenne, a indiqué le censeur.
En l’absence jeudi matin des enseignants dans les salles de classes du lycée municipal 2 de San Pedro, en raison du mot d’ordre de grève lancé par l’un de leurs syndicats (le Synesci), le censeur a demandé aux environs de 9H00 aux élèves de retourner chez eux.
Suivant les instructions, l’élève de la classe de 5ème 2, Yaméogo Marc, décide de rentrer à la maison à vélo avec l’un de ses amis.
Yaméogo tentait de dépasser un camion-citerne au niveau du petit marché du quartier CMA, à environ 1,5 km de son établissement, sur la voie principale actuellement en réfection, quand déséquilibré, dans sa chute, sa tête heurta la citerne, causant sur le champ sa mort, a-t-on expliqué de source policière et selon des témoins.
L’ami queYaméogo transportait sur son vélo, a eu avant la chute le réflexe de sauter plus tôt, échappant ainsi au sort connu par Marc.
Selon le secrétaire général 1 de la Direction régionale de l’Education nationale et de l’Enseignement technique (DRENET) de San Pedro, Yao Kouassi, le secrétaire général du Syndicat national des enseignants du second degré de Côte d’Ivoire (SYNESCI) de la région de San Pedro, Konaté Couléma, et le censeur Doumbia Souleymane, les informations voulant imputer cet accident à la grève des enseignants sont donc erronées.
«Aucun coup de sifflet, ni des enseignants ni des élèves. Il n’y a eu aucun mouvement d’élèves cherchant à aller déloger leurs camarades, ils rentraient tranquillement chez eux quand l’accident est survenu », a insisté le Censeur Doumbia.
A l’initiative du Synesci, les enseignants des lycées et collèges publics observent une grève de 48 heures qui prend fin ce jour, suivie à partir de lundi d’une autre grève de 48 heures, initiée par une coordination de syndicats d’encadreurs et d’enseignants des lycées et collèges.
(AIP)
jmk/ask
«Je précise qu’il n’y a pas eu deux morts. C’est un seul élève de la classe de 5ème 2 qui est mort, et ce n’est vraiment pas lié à la grève des enseignants », a déclaré le censeur du lycée municipal 2 de San Pedro, Doumbia Souleymane.
La victime de l’accident, l’élève, Yaméogo Marc, était un bon élève qui a eu au premier trimestre plus de 13 de moyenne, a indiqué le censeur.
En l’absence jeudi matin des enseignants dans les salles de classes du lycée municipal 2 de San Pedro, en raison du mot d’ordre de grève lancé par l’un de leurs syndicats (le Synesci), le censeur a demandé aux environs de 9H00 aux élèves de retourner chez eux.
Suivant les instructions, l’élève de la classe de 5ème 2, Yaméogo Marc, décide de rentrer à la maison à vélo avec l’un de ses amis.
Yaméogo tentait de dépasser un camion-citerne au niveau du petit marché du quartier CMA, à environ 1,5 km de son établissement, sur la voie principale actuellement en réfection, quand déséquilibré, dans sa chute, sa tête heurta la citerne, causant sur le champ sa mort, a-t-on expliqué de source policière et selon des témoins.
L’ami queYaméogo transportait sur son vélo, a eu avant la chute le réflexe de sauter plus tôt, échappant ainsi au sort connu par Marc.
Selon le secrétaire général 1 de la Direction régionale de l’Education nationale et de l’Enseignement technique (DRENET) de San Pedro, Yao Kouassi, le secrétaire général du Syndicat national des enseignants du second degré de Côte d’Ivoire (SYNESCI) de la région de San Pedro, Konaté Couléma, et le censeur Doumbia Souleymane, les informations voulant imputer cet accident à la grève des enseignants sont donc erronées.
«Aucun coup de sifflet, ni des enseignants ni des élèves. Il n’y a eu aucun mouvement d’élèves cherchant à aller déloger leurs camarades, ils rentraient tranquillement chez eux quand l’accident est survenu », a insisté le Censeur Doumbia.
A l’initiative du Synesci, les enseignants des lycées et collèges publics observent une grève de 48 heures qui prend fin ce jour, suivie à partir de lundi d’une autre grève de 48 heures, initiée par une coordination de syndicats d’encadreurs et d’enseignants des lycées et collèges.
(AIP)
jmk/ask
