Gagnoa – Valence Sahouet Gbizié, membre du Conseil régional du Gôh, représentant le président Joachim Djédjé Bagnon, à la cérémonie de célébration de la Journée internationale de la femme (JIF) 2015, déclare qu’il faut confier d’avantage de responsabilités à la femme dans le règlement des différends et conflits pour être sûr d’avoir des résultats probants.
Pour M. Sahouet Gbizié, il faut y parvenir en reconnaissance à la place qu’occupe désormais la femme dans notre société et que lui confèrent les textes de lois que l’on a fait progresser pour les adapter au rôle qu’elle doit jouer en tant que gendarme, sous-préfet, préfet, directrice générale (DG) nommée par décret ou qui se fait par elle-même comme la marraine de la cérémonie, Michelle Zégoua Kouao Ama.
"Cette évolution de nos lois doit nous pousser à confier d’avantage de responsabilités à la femme dans le règlement des différends et conflits, la femme doit dans le calme et en toute diplomatie pouvoir en parler à son mari, à son frère, à son fils en cas d’incompréhension dans la société’’, a-t-il souhaité, soulignant qu'"en société la femme représente la force tranquille, la sagesse, la beauté, le bien-être et le bien vivre.’’
La JIF 2015 a mis l’accent sur la déclaration et le programme d’action de Beijing, une feuille de route historique signée par 189 gouvernements, il y a 20 ans pour la réalisation des droits des femmes.
Bien que des progrès considérables aient été accomplis depuis, beaucoup de lacunes subsistent. Dans le cadre de cette célébration, il a été relevé le besoin pour les femmes, d’avoir conscience des défis qui restent à affronter et de porter une plus grande attention à leurs droits et à l’égalité entre les sexes, afin que tous soient mobilisés et apportent leur contribution.
Selon le représentant du président du Conseil régional, la femme est tout dans la société.
Est-il besoin, se demande-t-il, ‘’de rappeler que sans la femme il n’y a pas de vie, et sans vie le monde n’existerait pas. Nous le reconnaissons désormais, en société la femme représente la force tranquille, la sagesse, la beauté, le bien-être et le bien vivre’’, a-t-il insisté, en substances.
Pour ce faire, et au nom du président Djédjé Bagnon, il a exhorté les femmes de Gagnoa, d’accepter d’être ses ambassadrices en direction de tous les foyers et dans toutes les villes pour faire connaître notre volonté de paix et de concorde ici à Gagnoa.
‘’Allez dire le bon nom de Gagnoa, je vous regarde, partez et dites à Gagnoa, c’est bon’’, leur a-t-il lancé lors de la cérémonie commémorative de la JIF 2015.
(AIP)
ja/ask
Pour M. Sahouet Gbizié, il faut y parvenir en reconnaissance à la place qu’occupe désormais la femme dans notre société et que lui confèrent les textes de lois que l’on a fait progresser pour les adapter au rôle qu’elle doit jouer en tant que gendarme, sous-préfet, préfet, directrice générale (DG) nommée par décret ou qui se fait par elle-même comme la marraine de la cérémonie, Michelle Zégoua Kouao Ama.
"Cette évolution de nos lois doit nous pousser à confier d’avantage de responsabilités à la femme dans le règlement des différends et conflits, la femme doit dans le calme et en toute diplomatie pouvoir en parler à son mari, à son frère, à son fils en cas d’incompréhension dans la société’’, a-t-il souhaité, soulignant qu'"en société la femme représente la force tranquille, la sagesse, la beauté, le bien-être et le bien vivre.’’
La JIF 2015 a mis l’accent sur la déclaration et le programme d’action de Beijing, une feuille de route historique signée par 189 gouvernements, il y a 20 ans pour la réalisation des droits des femmes.
Bien que des progrès considérables aient été accomplis depuis, beaucoup de lacunes subsistent. Dans le cadre de cette célébration, il a été relevé le besoin pour les femmes, d’avoir conscience des défis qui restent à affronter et de porter une plus grande attention à leurs droits et à l’égalité entre les sexes, afin que tous soient mobilisés et apportent leur contribution.
Selon le représentant du président du Conseil régional, la femme est tout dans la société.
Est-il besoin, se demande-t-il, ‘’de rappeler que sans la femme il n’y a pas de vie, et sans vie le monde n’existerait pas. Nous le reconnaissons désormais, en société la femme représente la force tranquille, la sagesse, la beauté, le bien-être et le bien vivre’’, a-t-il insisté, en substances.
Pour ce faire, et au nom du président Djédjé Bagnon, il a exhorté les femmes de Gagnoa, d’accepter d’être ses ambassadrices en direction de tous les foyers et dans toutes les villes pour faire connaître notre volonté de paix et de concorde ici à Gagnoa.
‘’Allez dire le bon nom de Gagnoa, je vous regarde, partez et dites à Gagnoa, c’est bon’’, leur a-t-il lancé lors de la cérémonie commémorative de la JIF 2015.
(AIP)
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