Abengourou - Les établissements secondaires publics sont totalement paralysés à Abengourou par une grève déclenchée lundi par les enseignants qui réclament de meilleures conditions de vie et de travail, a constaté l’AIP.
Cette grève, qui touche les deux établissements secondaires publics de la ville, notamment, le lycée moderne et le collège moderne, a mis les élèves dans la rue. Ces derniers, qui ont pris le chemin de l’école ce lundi matin, ont du retourner à la maison en l’absence des professeurs.
Dans le préavis de grève déposé sur le bureau du ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative, les grévistes, regroupés au sein de la convention ivoirienne des syndicats de l’éducation nationale et de l’enseignement technique (CISEN-ET) et du mouvement des syndicats de l’enseignement général, technique et assimilés de Côte d’Ivoire, demandent que "le gouvernement se prononce définitivement et clairement sur la question de la date d’effet du déblocage des avancements".
Ils demandent également "l’ouverture de véritables discussions" sur plusieurs points de revendication portant, notamment, sur le paiement du stock des arriérés cumulés de 2009 à 2013, les travaux de la commission interministérielle pour les passages aux grades A5, A6 et A7.
Ces revendications portent également sur la mise en place du mécanisme permettant aux professeurs licenciés de satisfaire au CAPES, les accessoires de salaire, notamment, la revalorisation de l’indemnité contributive au logement, les primes de documentation et de recherche, le paiement des indemnités de correction des examens de l’année scolaire 2013-2014 et l’instauration effective des intendances dans les centres de correction.
Les grévistes invitent "instamment le gouvernement à communiquer sur les questions soulevées, afin de faire retomber très rapidement la fièvre qui monte et qui n’est pas faite pour maintenir une atmosphère de quiétude favorable au maintien des résultats scolaires sur la courbe ascendante".
Rkk/akn/ask
Cette grève, qui touche les deux établissements secondaires publics de la ville, notamment, le lycée moderne et le collège moderne, a mis les élèves dans la rue. Ces derniers, qui ont pris le chemin de l’école ce lundi matin, ont du retourner à la maison en l’absence des professeurs.
Dans le préavis de grève déposé sur le bureau du ministre de la Fonction publique et de la Réforme administrative, les grévistes, regroupés au sein de la convention ivoirienne des syndicats de l’éducation nationale et de l’enseignement technique (CISEN-ET) et du mouvement des syndicats de l’enseignement général, technique et assimilés de Côte d’Ivoire, demandent que "le gouvernement se prononce définitivement et clairement sur la question de la date d’effet du déblocage des avancements".
Ils demandent également "l’ouverture de véritables discussions" sur plusieurs points de revendication portant, notamment, sur le paiement du stock des arriérés cumulés de 2009 à 2013, les travaux de la commission interministérielle pour les passages aux grades A5, A6 et A7.
Ces revendications portent également sur la mise en place du mécanisme permettant aux professeurs licenciés de satisfaire au CAPES, les accessoires de salaire, notamment, la revalorisation de l’indemnité contributive au logement, les primes de documentation et de recherche, le paiement des indemnités de correction des examens de l’année scolaire 2013-2014 et l’instauration effective des intendances dans les centres de correction.
Les grévistes invitent "instamment le gouvernement à communiquer sur les questions soulevées, afin de faire retomber très rapidement la fièvre qui monte et qui n’est pas faite pour maintenir une atmosphère de quiétude favorable au maintien des résultats scolaires sur la courbe ascendante".
Rkk/akn/ask
