Immarcescible Simone Gbagbo. Le 10 mars, quand la cour d’assises d’Abidjan l’a condamnée à vingt ans de prison ferme pour "attentat à l’autorité de l’État, participation à un mouvement insurrectionnel et trouble à l’ordre public", l’ex-première dame de Côte d’Ivoire, 65 ans, n’a pas flanché. Écoutant un à un, sans rien laisser paraître, les mots d’une sentence massue comprenant aussi dix ans de privation de droits civiques et 965 milliards de F CFA (1,47 milliard d’euros) de dommages et intérêts, qu’elle devra verser à l’État ivoirien avec ses 78 coaccusés - dont son beau-fils, Michel Gbagbo, condamné à cinq ans de prison. Pour le moment, aucun indice n’a filtré sur son futur lieu de... suite de l'article sur Jeune Afrique
Politique Publié le jeudi 19 mars 2015 | Jeune Afrique
Côte d’Ivoire : Simone Gbagbo, la prison, l’amnistie ou la CPI
© Jeune Afrique Par SIA KAMBOUCôte d’Ivoire: Simone Gbagbo, l’ex-"Dame de fer" face à la justice