Odienné - Le président national de la coordination des directeurs d’écoles de Côte d’Ivoire(CNDECI) a invité, jeudi, à Odienné, ses membres à ne jamais fermer leurs bureaux pour raison de grève, eu égard à la délicatesse de leur fonction et à leur qualité d’auxiliaire de l’administration.
«Un directeur d’école primaire ne doit pas fermer son bureau pour raison de grève. Il peut fermer sa classe en sa qualité de maitre, titulaire d’une classe, mais se doit d’être à son bureau, pour jouer son rôle d’auxiliaire de l’administration même quand tous les autres maitres ont fermé leurs classes », a indiqué le président de la CNDECI.
Selon lui, le directeur d’école primaire est le prolongement de l’administration. C’est lui qui fait le point à l’inspecteur qui le transmet à son tour au directeur régional de l’éducation nationale. Mais pour que les directeurs puissent assumer avec succès, leur fonction d’auxiliaire de l’administration, M. N’Guessan Etienne invite le gouvernement à revaloriser leur grade (B3) et ses attributs (bureau, équipement etc) ainsi que ses conditions de vie et de travail.
ss/akn/ask
«Un directeur d’école primaire ne doit pas fermer son bureau pour raison de grève. Il peut fermer sa classe en sa qualité de maitre, titulaire d’une classe, mais se doit d’être à son bureau, pour jouer son rôle d’auxiliaire de l’administration même quand tous les autres maitres ont fermé leurs classes », a indiqué le président de la CNDECI.
Selon lui, le directeur d’école primaire est le prolongement de l’administration. C’est lui qui fait le point à l’inspecteur qui le transmet à son tour au directeur régional de l’éducation nationale. Mais pour que les directeurs puissent assumer avec succès, leur fonction d’auxiliaire de l’administration, M. N’Guessan Etienne invite le gouvernement à revaloriser leur grade (B3) et ses attributs (bureau, équipement etc) ainsi que ses conditions de vie et de travail.
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