Le préfet de région de la région ‘’poro’’ , préfet du département de Korhogo Daouda Ouattara a mit en garde les enseignants grévistes de la direction régionale de l’éducation nationale et de l’enseignement technique (DRENET) du ‘’poro ‘’ au Nord de la Côte d ‘Ivoire au risque d’être jeter en prison . « Tout gréviste prit en flagrant délit entrain de déloger ses camarades qui font cours seront purement et simplement arrêtés et jeter en prison » a-t-il averti.
C’était le 23 mars 2015 dans la salle de conférence ‘’Alassane Ouattara’’ de la préfecture au cours d’une rencontre entre syndicalistes, enseignants, chefs d’établissements et responsables régionaux de l’éducation nationale, en présence des forces de l’ordre. En effet depuis le déclenchement du mot d’ordre de grève observé par certains enseignants du secondaire puis du primaire, le lundi 16 et mercredi 18 mars derniers un policer et un gendarme ont été grièvement blessés aux collèges privés Bethléem et Don Bosco. Suite à des altercations entre des élèves de ces écoles privées qui pourchassaient les enseignants des établissements du publics qui donnent des heures de vacation dans les dites écoles. A expliqué Coulibaly Moustapha DRENET.
Les élèves ont raison de vous poursuivre jusqu’ à votre dernier retranchement parce que vous ne pouvez pas perturber les cours au niveau du public et aller dispenser les cours dans les écoles privées… a souligné le préfet de région. Avant de conseiller les enseignants sur d’éventuelles dispositions qui seront prises pour trouver solutions à leurs préoccupations « il faut faire confiance aux décideurs ce n’est pas dans la grève qu’on peut tout obtenir » Il s’est ensuite adressé aux directeurs d’écoles primaires qui fermeront leurs classes pour observer le mot de grève. ils en auront pour leur comptes « car ne soyez pas surpris d’être muté de vos postes et dire que le préfet est méchant ».
Faite un effort pour laisser les enfants aller à l’école, éviter les grèves intempestives a dit Daouda Ouattara aux pédagogues. Traoré Mariam et Coulibaly Zié proviseurs du lycée modernes et du lycée Félix Houphouet Boigny se sont rejouis les fermes décisions du préfet de région.
Benogo TOURE
(Correspondant)
C’était le 23 mars 2015 dans la salle de conférence ‘’Alassane Ouattara’’ de la préfecture au cours d’une rencontre entre syndicalistes, enseignants, chefs d’établissements et responsables régionaux de l’éducation nationale, en présence des forces de l’ordre. En effet depuis le déclenchement du mot d’ordre de grève observé par certains enseignants du secondaire puis du primaire, le lundi 16 et mercredi 18 mars derniers un policer et un gendarme ont été grièvement blessés aux collèges privés Bethléem et Don Bosco. Suite à des altercations entre des élèves de ces écoles privées qui pourchassaient les enseignants des établissements du publics qui donnent des heures de vacation dans les dites écoles. A expliqué Coulibaly Moustapha DRENET.
Les élèves ont raison de vous poursuivre jusqu’ à votre dernier retranchement parce que vous ne pouvez pas perturber les cours au niveau du public et aller dispenser les cours dans les écoles privées… a souligné le préfet de région. Avant de conseiller les enseignants sur d’éventuelles dispositions qui seront prises pour trouver solutions à leurs préoccupations « il faut faire confiance aux décideurs ce n’est pas dans la grève qu’on peut tout obtenir » Il s’est ensuite adressé aux directeurs d’écoles primaires qui fermeront leurs classes pour observer le mot de grève. ils en auront pour leur comptes « car ne soyez pas surpris d’être muté de vos postes et dire que le préfet est méchant ».
Faite un effort pour laisser les enfants aller à l’école, éviter les grèves intempestives a dit Daouda Ouattara aux pédagogues. Traoré Mariam et Coulibaly Zié proviseurs du lycée modernes et du lycée Félix Houphouet Boigny se sont rejouis les fermes décisions du préfet de région.
Benogo TOURE
(Correspondant)
