Paquinou avancé 2015. C’est le concert gratuit qu’offre le candidat à la prochaine Municipale de Koumassi aux populations, Amani Oka, ce samedi 28 mars de 21 heures à l’aube, au centre Mathieu Ray.
Après la première édition qui a enregistré la participation de 800 personnes et 35 artistes tradi-modernes, le colonel Amani Oka remet le couvert ce samedi au centre Mathieu Ray de Koumassi. Cette fois-ci avec 2000 participants attendus et un concert gratuit dont l’artiste N’guess Bon Sens est la gue star. C’est son directeur de cabinet, Kouakou Loukou d’Assandrè qui a porté l’information à la presse ce mercredi à la faveur d’une conférence de presse. « On ne peut pas promettre le bonheur à des populations et ne pas être à même de leur assurer le minimum » a-t-il indiqué. Cette initiative, poursuit-il, s’inscrit dans la même vision politique du partage conformément au leitmotiv de la commune de Koumassi qui est le bonheur partagé. « Le vrai bonheur partagé doit être multisectoriel. C'est-à-dire au niveau des jeunes, des femmes, des doyens, le Conseil supérieur des chefs » a-t-il ajouté. Outre les festivités, cette fête sera également marquée par la sensibilisation. L’Office de la sécurité routière (OSER) est annoncé pour une campagne de sensibilisation. A cela s’ajoute une institution d’alphabétisation dénommée Shalom international qui se chargera de faire un sketch sur la fièvre hémorragique Ebola. Enfin, elle est placée sous le patronage d’Emmanuel Gnamien N’ Goran, inspecteur général d’Etat. Le parrainage sera assuré par le directeur général des Douanes, le colonel Major Issa Coulibaly et la présidence par le colonel Amani Oka, véritable concepteur de l’événement. Pour rappel, elle est consécutive, selon notre interlocuteur, aux clivages nés de la crise postélectorale. Ainsi certaines personnes ne pouvaient plus se rendre dans leurs villages. Ce qui a suscité un nouveau phénomène à Abidjan. Que certains ont appelé les maquis baoulé pour permettre à ceux qui n’avaient pas la possibilité de retourner de peur de représailles à cause de leur choix politique, au village de fêter à Abidjan. Cette initiative qui répond donc à ce grand besoin contribue inexorablement à la réconciliation nationale.
Cyrille Nahin
Après la première édition qui a enregistré la participation de 800 personnes et 35 artistes tradi-modernes, le colonel Amani Oka remet le couvert ce samedi au centre Mathieu Ray de Koumassi. Cette fois-ci avec 2000 participants attendus et un concert gratuit dont l’artiste N’guess Bon Sens est la gue star. C’est son directeur de cabinet, Kouakou Loukou d’Assandrè qui a porté l’information à la presse ce mercredi à la faveur d’une conférence de presse. « On ne peut pas promettre le bonheur à des populations et ne pas être à même de leur assurer le minimum » a-t-il indiqué. Cette initiative, poursuit-il, s’inscrit dans la même vision politique du partage conformément au leitmotiv de la commune de Koumassi qui est le bonheur partagé. « Le vrai bonheur partagé doit être multisectoriel. C'est-à-dire au niveau des jeunes, des femmes, des doyens, le Conseil supérieur des chefs » a-t-il ajouté. Outre les festivités, cette fête sera également marquée par la sensibilisation. L’Office de la sécurité routière (OSER) est annoncé pour une campagne de sensibilisation. A cela s’ajoute une institution d’alphabétisation dénommée Shalom international qui se chargera de faire un sketch sur la fièvre hémorragique Ebola. Enfin, elle est placée sous le patronage d’Emmanuel Gnamien N’ Goran, inspecteur général d’Etat. Le parrainage sera assuré par le directeur général des Douanes, le colonel Major Issa Coulibaly et la présidence par le colonel Amani Oka, véritable concepteur de l’événement. Pour rappel, elle est consécutive, selon notre interlocuteur, aux clivages nés de la crise postélectorale. Ainsi certaines personnes ne pouvaient plus se rendre dans leurs villages. Ce qui a suscité un nouveau phénomène à Abidjan. Que certains ont appelé les maquis baoulé pour permettre à ceux qui n’avaient pas la possibilité de retourner de peur de représailles à cause de leur choix politique, au village de fêter à Abidjan. Cette initiative qui répond donc à ce grand besoin contribue inexorablement à la réconciliation nationale.
Cyrille Nahin