Tiébissou - A l'occasion de l'atelier de réflexion sur l'avenir de l'école à Gbomizambo et Gbomi-Kondè Yaokro, deux localités jumelées, les populations ont sollicité des infrastructures scolaires dont un collège de proximité et l'extension de son école primaire.
Le directeur de cabinet du ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique, Assoumou Kabran a présidé les travaux de cet atelier tenu, vendredi, à trois kilomètres de Tiébissou (Centre, région du Bélier).
L’inspecteur général de l'Education nationale(IGEN), Koffi Antoine a expliqué que la longue distance qui sépare les villages de GBOMI au seul lycée public de Tiébissou, la surcharge des salles de classe, et le manque de logements des maîtres ainsi que l'absence d'école maternelle sont des causes majeures de l'échec scolaire dans ces localités.
Il a souhaité, en conséquence, l'extension de l'école primaire qui est vieille de soixante ans, la construction d'une école maternelle, d'un collège de proximité qui est "la seule solution à la déperdition des enfants du secondaire" qui sont obligés ,avec les problèmes de tuteurs, de parcourir à pied, quotidiennement, en aller et retour, près de quatre kilomètres pour se rendre à l'école au lycée de Tiébissou.
Ces enfants qui quittent le matin, le village aux environs de 05 heures et rentrent le soir après 19 heures, sont exposés aux intempéries, aux retards, à la faim, à la fatigue et aux dangers que sont les serpents et les accidents de la route internationale qu'ils empruntent.
Assoumou Kabran a dit que l'extension de l'école de Gbomizambo est prévue dans la prochaine carte scolaire.
myk/akn/ask
Le directeur de cabinet du ministre de l’Education nationale et de l’Enseignement technique, Assoumou Kabran a présidé les travaux de cet atelier tenu, vendredi, à trois kilomètres de Tiébissou (Centre, région du Bélier).
L’inspecteur général de l'Education nationale(IGEN), Koffi Antoine a expliqué que la longue distance qui sépare les villages de GBOMI au seul lycée public de Tiébissou, la surcharge des salles de classe, et le manque de logements des maîtres ainsi que l'absence d'école maternelle sont des causes majeures de l'échec scolaire dans ces localités.
Il a souhaité, en conséquence, l'extension de l'école primaire qui est vieille de soixante ans, la construction d'une école maternelle, d'un collège de proximité qui est "la seule solution à la déperdition des enfants du secondaire" qui sont obligés ,avec les problèmes de tuteurs, de parcourir à pied, quotidiennement, en aller et retour, près de quatre kilomètres pour se rendre à l'école au lycée de Tiébissou.
Ces enfants qui quittent le matin, le village aux environs de 05 heures et rentrent le soir après 19 heures, sont exposés aux intempéries, aux retards, à la faim, à la fatigue et aux dangers que sont les serpents et les accidents de la route internationale qu'ils empruntent.
Assoumou Kabran a dit que l'extension de l'école de Gbomizambo est prévue dans la prochaine carte scolaire.
myk/akn/ask