Ils n’ont certainement pas la même chance, ni l’aura, encore moins le poids politique qu’un Laurent Gbagbo au pénitencier de Scheveningen à La Haye, pour recevoir des visites à un rythme qui donne le vertige, au point de transformer leur cellule en lieu de pèlerinage politique.
En Côte d’Ivoire, à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (Maca), les visites à Lida Kouassi Moïse et Assoa Adou, deux pontes du Front populaire ivoirien (Fpi) de Laurent Gbagbo, se comptent au bout des doigts. Les charges d’atteinte à la sûreté de l’Etat, arguées pour justifier leur présence au pénitencier de la capitale économique ivoirienne,
freinent les ardeurs des visiteurs. « Personne ne veut être perçu comme leur complice. Vous... suite de l'article sur L’Inter
En Côte d’Ivoire, à la Maison d’arrêt et de correction d’Abidjan (Maca), les visites à Lida Kouassi Moïse et Assoa Adou, deux pontes du Front populaire ivoirien (Fpi) de Laurent Gbagbo, se comptent au bout des doigts. Les charges d’atteinte à la sûreté de l’Etat, arguées pour justifier leur présence au pénitencier de la capitale économique ivoirienne,
freinent les ardeurs des visiteurs. « Personne ne veut être perçu comme leur complice. Vous... suite de l'article sur L’Inter