Abidjan - Le village de Madian, situé dans la commune, et intégré au plan directeur de Mankono, dont il devient un quartier, espère profiter de la promesse des fleurs de développement de la cité pour sortir de l’ornière.
"Le village est loti depuis 1980 à l’initiative personnelle de Fofana Souleymane, un fils du village. Avec le développement de Mankono, notre village pourra rattraper son retard", a confié à l’AIP le chef du village, Fofana Lama.
"Le lotissement a donné 703 lots répartis sur le site de 159 ha. Sur un premier site, 293 lots de 1.200 m² sont réservés aux ressortissants. Nous allons bâtir quatre maisons de quatre pièces sur chaque lot. Sur un deuxième site, nous construirons trois villas destinées à la location par les fonctionnaires", projette le chef du village qui souligne que sur un troisième site, des lots de 600 m² sont prévus pour un quartier résidentiel.
"Les négociations sont très avancées avec une entreprise immobilière pour cette opération dont la rentabilité est sûre avec la construction prévue d’une cité administrative au Sud et d’une zone industrielle au Nord du village", a-t-il ajouté.
Des poteaux électriques ont été installés depuis plus de quatre ans mais le village n’a jamais été connecté au réseau électrique.
"On nous a expliqué que le village est déjà électrifié et que le conseil régional ne peut pas nous ré-électrifier. C’est un véritable casse-tête pour nous", déplore-t-il.
La localité de 1.500 habitants dispose d’une seule pompe à motricité humaine mais elle est panne depuis un mois, obligeant les femmes à aller puiser l'eau du puits, avec des risques avérés de maladies hydriques. Toutefois, Madian devrait bénéficier d’eau courante dans le cadre du Programme présidentiel d’urgence (PPU).
Le village dispose d'une école primaire construite par L'Opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) mais manque de deux salles de classe. En attendant, les élèves suivent les cours sous des abris précaires.
Les parents disent espérer la construction d'une cantine scolaire pour maintenir les enfants à l'école en les nourrissant à midi pour éviter qu'ils ne suivent les parents aux champs où ils sont sûrs de trouver à manger.
aaa/ask
"Le village est loti depuis 1980 à l’initiative personnelle de Fofana Souleymane, un fils du village. Avec le développement de Mankono, notre village pourra rattraper son retard", a confié à l’AIP le chef du village, Fofana Lama.
"Le lotissement a donné 703 lots répartis sur le site de 159 ha. Sur un premier site, 293 lots de 1.200 m² sont réservés aux ressortissants. Nous allons bâtir quatre maisons de quatre pièces sur chaque lot. Sur un deuxième site, nous construirons trois villas destinées à la location par les fonctionnaires", projette le chef du village qui souligne que sur un troisième site, des lots de 600 m² sont prévus pour un quartier résidentiel.
"Les négociations sont très avancées avec une entreprise immobilière pour cette opération dont la rentabilité est sûre avec la construction prévue d’une cité administrative au Sud et d’une zone industrielle au Nord du village", a-t-il ajouté.
Des poteaux électriques ont été installés depuis plus de quatre ans mais le village n’a jamais été connecté au réseau électrique.
"On nous a expliqué que le village est déjà électrifié et que le conseil régional ne peut pas nous ré-électrifier. C’est un véritable casse-tête pour nous", déplore-t-il.
La localité de 1.500 habitants dispose d’une seule pompe à motricité humaine mais elle est panne depuis un mois, obligeant les femmes à aller puiser l'eau du puits, avec des risques avérés de maladies hydriques. Toutefois, Madian devrait bénéficier d’eau courante dans le cadre du Programme présidentiel d’urgence (PPU).
Le village dispose d'une école primaire construite par L'Opération des Nations Unies en Côte d'Ivoire (ONUCI) mais manque de deux salles de classe. En attendant, les élèves suivent les cours sous des abris précaires.
Les parents disent espérer la construction d'une cantine scolaire pour maintenir les enfants à l'école en les nourrissant à midi pour éviter qu'ils ne suivent les parents aux champs où ils sont sûrs de trouver à manger.
aaa/ask
