Dimbokro – A l’occasion de l’inauguration, vendredi, du centre polyvalent de Tiémélékro, le député d’Anoumaba-Tiémélékro (centre-est, region du Moronou), N’guetta Kamana, a animé une conférence publique sur le thème « la création de richesses en milieu rural, cas de Tiémélékro », au cours de laquelle il a déploré le retard dans le développement de cette circonscription et émis des solutions pour lutter durablement contre la pauvreté.
En 2005, N’guetta Kamana a mené une étude actualisée en 2010, concluant que les populations de la sous-préfecture de Tiémélékro vivent dans une extrême pauvreté avec moins de 30 FCFA de revenu par jour alors que l’indice de pauvreté déterminé par les Nations unies est évalué à 500 FCFA par jour et par habitant.
C’est pour contribuer à corriger cela en vue de relever le niveau de vie des habitants de sa circonscription qu'il a animé cette conférence et éclairé les populations sur des notions très souvent usitées en matière de lutte contre la pauvreté.
Aussi, a-t-il défini le pouvoir d’achat comme la somme d’argent dont dispose une personne pour faire face à ces besoins ; la fortune comme l’ensemble des biens matériels dont dispose cette personne. Quand la richesse est une activité créatrice de revenus mais aussi d’activités économiques.
L’agriculture, au terme de son étude, représentant 85% des sources de richesses à Tiémélékro, le conférencier a recommandé aux populations la culture de l’hévéa d’abord suivie de celle du palmier à huile puis du café et du cacao, ces deux dernières cultures « qui ont été des pôles de développement à l’époque. »
« Mais comme l’environnement change, ces pôles ont changé. C’est pourquoi je demande que ceux qui ont déjà du café et/ou du cacao continuent de les exploiter. Mais que ceux qui veulent faire de nouvelles plantations abandonnent ces cultures pour faire désormais de l’hévéa pour permettre au peuple Ahali de retrouver sa dignité », a-t-il conseillé.
Il se dit convaincu qu’avec cette nouvelle vision, dans dix ans, chaque habitant pourra vivre avec au moins 1 000 FCFA par jour.
« Je souhaite que nous nous appuyions sur l’hévéa pour mieux sauter parce que l’argent qui est produit est pour tout le monde. Par exemple quand vous voudriez construire votre maison, les maçons, les menuisiers, les charpentiers vont tous en bénéficier. C’est ce que je recherche », a conclu le conférencier.
Zgrp/akn/ask
En 2005, N’guetta Kamana a mené une étude actualisée en 2010, concluant que les populations de la sous-préfecture de Tiémélékro vivent dans une extrême pauvreté avec moins de 30 FCFA de revenu par jour alors que l’indice de pauvreté déterminé par les Nations unies est évalué à 500 FCFA par jour et par habitant.
C’est pour contribuer à corriger cela en vue de relever le niveau de vie des habitants de sa circonscription qu'il a animé cette conférence et éclairé les populations sur des notions très souvent usitées en matière de lutte contre la pauvreté.
Aussi, a-t-il défini le pouvoir d’achat comme la somme d’argent dont dispose une personne pour faire face à ces besoins ; la fortune comme l’ensemble des biens matériels dont dispose cette personne. Quand la richesse est une activité créatrice de revenus mais aussi d’activités économiques.
L’agriculture, au terme de son étude, représentant 85% des sources de richesses à Tiémélékro, le conférencier a recommandé aux populations la culture de l’hévéa d’abord suivie de celle du palmier à huile puis du café et du cacao, ces deux dernières cultures « qui ont été des pôles de développement à l’époque. »
« Mais comme l’environnement change, ces pôles ont changé. C’est pourquoi je demande que ceux qui ont déjà du café et/ou du cacao continuent de les exploiter. Mais que ceux qui veulent faire de nouvelles plantations abandonnent ces cultures pour faire désormais de l’hévéa pour permettre au peuple Ahali de retrouver sa dignité », a-t-il conseillé.
Il se dit convaincu qu’avec cette nouvelle vision, dans dix ans, chaque habitant pourra vivre avec au moins 1 000 FCFA par jour.
« Je souhaite que nous nous appuyions sur l’hévéa pour mieux sauter parce que l’argent qui est produit est pour tout le monde. Par exemple quand vous voudriez construire votre maison, les maçons, les menuisiers, les charpentiers vont tous en bénéficier. C’est ce que je recherche », a conclu le conférencier.
Zgrp/akn/ask