Abidjan – Le président de la confédération générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI), Jean Kacou Diagou a plaidé, jeudi, pour la mise en place de mécanisme favorisant la "préférence nationale".
"Il est fondamental de créer un environnement dans lequel les petites et moyennes entreprises sont protégées des gros afin qu’elles puissent se muscler pour pouvoir se défendre toutes seules", a souhaité M. Diagou à l’ouverture de la quatrième édition de la CGECI Academy, une plateforme de promotion de l’entreprenariat ivoirien.
Pour le chef du patronat ivoirien, dans le monde entier, ce sont des "mécanismes adéquats" qui ont permis l’émergence de champions nationaux.
"Les gros poissons mangent les petits poissons", a-t-il imagé, ajoutant que "tant que nous resterons petits, même si nous sommes nombreux, les gros poissons nous mangerons toujours".
S’appuyant sur l’exemple de la Turquie, le président Diagou a souligné le soutien de certaines institutions multinationales notamment la Banque mondiale et le FMI qui reconnaissent la nécessité pour un pays de mettre en place des mécanismes protégeant ses petites entreprises et surtout créer un environnement pour faire émerger parmi elles des champions nationaux.
Le président de la CGECI a souligné que le secteur privé ivoirien ne demande pas du "favoritisme" ou de la "complaisance" mais pour lui, "il faut que ces entreprises puissent évoluer sereinement dans un environnement qui leur permette de grandir sur des bases saines et solides".
kkf/ask
"Il est fondamental de créer un environnement dans lequel les petites et moyennes entreprises sont protégées des gros afin qu’elles puissent se muscler pour pouvoir se défendre toutes seules", a souhaité M. Diagou à l’ouverture de la quatrième édition de la CGECI Academy, une plateforme de promotion de l’entreprenariat ivoirien.
Pour le chef du patronat ivoirien, dans le monde entier, ce sont des "mécanismes adéquats" qui ont permis l’émergence de champions nationaux.
"Les gros poissons mangent les petits poissons", a-t-il imagé, ajoutant que "tant que nous resterons petits, même si nous sommes nombreux, les gros poissons nous mangerons toujours".
S’appuyant sur l’exemple de la Turquie, le président Diagou a souligné le soutien de certaines institutions multinationales notamment la Banque mondiale et le FMI qui reconnaissent la nécessité pour un pays de mettre en place des mécanismes protégeant ses petites entreprises et surtout créer un environnement pour faire émerger parmi elles des champions nationaux.
Le président de la CGECI a souligné que le secteur privé ivoirien ne demande pas du "favoritisme" ou de la "complaisance" mais pour lui, "il faut que ces entreprises puissent évoluer sereinement dans un environnement qui leur permette de grandir sur des bases saines et solides".
kkf/ask