Daloa - Environ 60.000 élèves issus de 200 établissements du primaire, des directions régionales de l’éducation nationale et de l’enseignement technique (DRENET) de Daloa, Guiglo, Man, Soubré, ont été initiés aux bonnes pratiques d’hygiène, notamment au lavage des mains, à la gestion de l’environnement, en vue d’améliorer leurs conditions de vie en milieu scolaire, révèle le bilan à mi-parcours du projet d’urgence d’appui à l’éducation de base (PUAEB) au terme d’un atelier d’évaluation tenu de mardi à mercredi à Daloa.
Après six mois d’exécution du projet, lancé officiellement les 27 et 28 juin 2014 à Grand-Bassam, il est apparu nécessaire aux différents acteurs impliqués de faire un bilan à mi-parcours des activités réalisées, telles que la campagne de promotion du lavage des mains, la campagne de prévention des maladies, notamment la lutte contre le paludisme, à travers la fourniture de moustiquaires imprégnées et le déparasitage dans les écoles, l’achat de fournitures scolaires pour les orphelins et enfants victimes du VIH-Sida (OEV).
Pour ce faire, la rencontre organisée par la direction de la vie scolaire, chargée de la coordination et du suivi de la mise en œuvre des différentes activités, a démontré au vu des résultats, l’impact positif du projet sur les écoles et leur environnement devenus plus propres et plus fréquentables.
Ainsi, la restitution des travaux par les acteurs de l’enseignement, les experts du ministère de la santé et de l’UNICEF chargés de la mise en œuvre de la composante ‘’promotion de la santé et la nutrition en milieu scolaire, a fait état de la bonne tenue du projet. Dans la mesure où avec la formation des enseignants sur les soins de santé pour les enfants, ces derniers ont assimilé dans leur grande majorité les pratiques de lavage des mains, de nettoyage des latrines, de gestion des ordures de papiers etc. Toute chose qui, selon l’objectif du projet, contribuera à l’amélioration de la qualité de vie des apprenants et de l’éducation.
Au-delà du bilan semestriel jugé positif à travers la réhabilitation de certaines infrastructures scolaires par la communauté éducative, l’incidence de la prise de conscience sur la nécessité d’un environnement sain etc., des zones d’ombre auxquelles il faudra faire face ont été relevées. Il s’agit entre autres du manque de points d’eau et de latrines dans certaines écoles, du manque de moyens de mobilité empêchant les conseillers de la vie scolaire d’accéder à toutes les zones reculées et difficiles d’accès…
Pour atteindre donc l’objectif final du projet qui est d’œuvrer à l’amélioration de l’environnement scolaire indissociable à la réussite scolaire des apprenants, le directeur de la vie scolaire, Nicolas Effi M’bra, a souhaité qu’il s’étende à tout le territoire national pour permettre à tous les élèves du pays d’en bénéficier.
L e PUAEB est un projet d’appui de la Banque Mondiale au ministère de l’éducation nationale et de l’enseignement technique. A ce titre il bénéficie dit-on, du soutien financier de cette institution, de la collaboration du ministère de la santé et de la lutte contre le SIDA et de l’appui technique de l’UNICEF qui en assure la mise en œuvre.
A terme, le projet prévoit la distinction des meilleurs établissements dans le cadre d’un concours de proprété.
yy/ask
Après six mois d’exécution du projet, lancé officiellement les 27 et 28 juin 2014 à Grand-Bassam, il est apparu nécessaire aux différents acteurs impliqués de faire un bilan à mi-parcours des activités réalisées, telles que la campagne de promotion du lavage des mains, la campagne de prévention des maladies, notamment la lutte contre le paludisme, à travers la fourniture de moustiquaires imprégnées et le déparasitage dans les écoles, l’achat de fournitures scolaires pour les orphelins et enfants victimes du VIH-Sida (OEV).
Pour ce faire, la rencontre organisée par la direction de la vie scolaire, chargée de la coordination et du suivi de la mise en œuvre des différentes activités, a démontré au vu des résultats, l’impact positif du projet sur les écoles et leur environnement devenus plus propres et plus fréquentables.
Ainsi, la restitution des travaux par les acteurs de l’enseignement, les experts du ministère de la santé et de l’UNICEF chargés de la mise en œuvre de la composante ‘’promotion de la santé et la nutrition en milieu scolaire, a fait état de la bonne tenue du projet. Dans la mesure où avec la formation des enseignants sur les soins de santé pour les enfants, ces derniers ont assimilé dans leur grande majorité les pratiques de lavage des mains, de nettoyage des latrines, de gestion des ordures de papiers etc. Toute chose qui, selon l’objectif du projet, contribuera à l’amélioration de la qualité de vie des apprenants et de l’éducation.
Au-delà du bilan semestriel jugé positif à travers la réhabilitation de certaines infrastructures scolaires par la communauté éducative, l’incidence de la prise de conscience sur la nécessité d’un environnement sain etc., des zones d’ombre auxquelles il faudra faire face ont été relevées. Il s’agit entre autres du manque de points d’eau et de latrines dans certaines écoles, du manque de moyens de mobilité empêchant les conseillers de la vie scolaire d’accéder à toutes les zones reculées et difficiles d’accès…
Pour atteindre donc l’objectif final du projet qui est d’œuvrer à l’amélioration de l’environnement scolaire indissociable à la réussite scolaire des apprenants, le directeur de la vie scolaire, Nicolas Effi M’bra, a souhaité qu’il s’étende à tout le territoire national pour permettre à tous les élèves du pays d’en bénéficier.
L e PUAEB est un projet d’appui de la Banque Mondiale au ministère de l’éducation nationale et de l’enseignement technique. A ce titre il bénéficie dit-on, du soutien financier de cette institution, de la collaboration du ministère de la santé et de la lutte contre le SIDA et de l’appui technique de l’UNICEF qui en assure la mise en œuvre.
A terme, le projet prévoit la distinction des meilleurs établissements dans le cadre d’un concours de proprété.
yy/ask