Abidjan – Les journalistes de Côte d’Ivoire, réunis au sein des organisations professionnelles des médias ont recommandé dimanche, lors de la célébration de la journée internationale de la liberté de la presse, que les auteurs des agressions perpétrées contre eux soient identifiés et sanctionnés par la loi.
Dans une motion lue par la présidente du réseau des femmes journalistes et des professionnels de la communication de Côte d’Ivoire (REFJPCI), Agnès Kraidy, les journalistes ont manifesté leur désir de voir le gouvernement renouveler son engagement à garantir la sécurité des journalistes.
Ils souhaitent entre autres, le statut de pupilles pour les enfants des journalistes décédés pendant la crise postélectorale, dans l’exercice de leur métier.
Les journalistes veulent également que la modification de la loi de 2004 sur la presse, passe à l’assemblée nationale pour conférer un cadre légal à l’exercice de leur métier. La création d’un comité de révision du cadre juridique des radios de proximité, en vue de favoriser une plus grande liberté d’expression, a été formulée.
Instituée en 1993, la célébration de la journée de la liberté de presse, permet de faire l’état des lieux des conditions de vie et de travail des journalistes dans le monde.
En Côte d’Ivoire, peut-on constater, les conditions de vie et de travail des journalistes, malgré les efforts du gouvernement reste quelque peu précaire.
(AIP)
kam
Dans une motion lue par la présidente du réseau des femmes journalistes et des professionnels de la communication de Côte d’Ivoire (REFJPCI), Agnès Kraidy, les journalistes ont manifesté leur désir de voir le gouvernement renouveler son engagement à garantir la sécurité des journalistes.
Ils souhaitent entre autres, le statut de pupilles pour les enfants des journalistes décédés pendant la crise postélectorale, dans l’exercice de leur métier.
Les journalistes veulent également que la modification de la loi de 2004 sur la presse, passe à l’assemblée nationale pour conférer un cadre légal à l’exercice de leur métier. La création d’un comité de révision du cadre juridique des radios de proximité, en vue de favoriser une plus grande liberté d’expression, a été formulée.
Instituée en 1993, la célébration de la journée de la liberté de presse, permet de faire l’état des lieux des conditions de vie et de travail des journalistes dans le monde.
En Côte d’Ivoire, peut-on constater, les conditions de vie et de travail des journalistes, malgré les efforts du gouvernement reste quelque peu précaire.
(AIP)
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